Sujet: Yoo Yu Jin ☆ Resistance ☆ Ven 2 Mai - 12:18
Yoo Yu Jin
feat. Yoo Young Jae
« Je ne connais la peur que dans vos souffrances... »
Âge.21 ans Date de naissance.31 décembre 1992 Situation amoureuse.Fiancé - en théorie - et hétéro Activité.Etudiant en Relations internationales Groupe.Resistance Twao/Humain.Humain But.Vivre à en mourir!
Profite de ce que tu vois...
La première fois que Yoo Yu Jin est entré dans mon bureau, je m'attendais voir un jeune homme brisé, le dos rond. C'est vrai. Mais il était tout le contraire.
Lorsque je regarde Yu Jin, je vois probablement ce que chacun est capable de voir. Il a l'air d'un jeune adulte sortant tout juste de l'adolescence, banal si l'on garde en vision le physique typiquement asiatique. Cheveux bruns, yeux sombres et bridés, peau pâle. Seulement, comme je le disais plus tôt, il a l'air. Seulement l'air.
En m'intéressant à plus de détails, comme mon métier m'incite à le faire, je peux remarquer cette posture particulière qu'il tient lorsqu'il est assit devant moi. Son dos est droit, montrant qu'on lui a appris à se tenir dès son plus jeune âge. Ainsi, il montre qu'il est plutôt grand. A vue d’œil, on lui donnerait un petit mètre quatre-vingt. Digne de son imposante famille. Ses vêtements suivent cette idée, alliant chemises et longs manteaux. Yu Jin semble prendre soin de son apparence, sans pour autant en faire une obsession. Rien qu'aujourd'hui, il porte l'un de ses pull léger à la couleur claire sur un jean qui allonge ses jambes. Élégant, est un mot qui le définirait. Après tout, il a largement les moyens de se soigner.
Il n'y a pas que son allure, par ailleurs. Sa chevelure brune est bien coiffée, tombant légèrement sur son front et parfois sur son regard. Son visage porte encore les marques de l'adolescence où l'on devine des joues rondes. Désormais, il les a perdu. Ceci ne veut pas dire que ses traits n'ont pas gardés leur apparence sages. Sa mâchoire est bien dessinée, ses pommettes relevées et sa peau est blanche. Pourtant, a plusieurs endroits sur sa chair, si on observe bien, on peut apercevoir de belles cicatrices. A l'un de ses sourcils, souvenir d'une pierre arrivée par hasard. Sur ses poignets et ses bras, relevant ses aventures d'enfant. Puis, sur ses jambes lorsqu'il les découvre, montrant les nombreuses chutes qu'il a subit.
Ce que l'on remarque également, c'est sa bouche. Détail non négligeable de son visage faussement angélique. Ses lèvres rondes, pulpeuses et roses, porte toujours un léger sourire en leurs coins. Ce qui peut paraitre étonnant quand on voit l'air sérieux qu'il aborde, de temps en temps. Dû à son rang, probablement. Beaucoup penseront apercevoir un rictus narquois, voire arrogant, mais c'est loin d'être le cas. Il garde juste l'éclat d'un fou rire sur l'ombre de ses morceaux de chair. Ce que j'ai eu le temps de noter de vraiment particulier, c'est son regard. Je dirais que chaque émotion passant dans son esprit y est visible. Pétillants, sombres... Ses pupilles sont pleines de vie. Même lorsqu'il leur arrivent de se voiler légèrement, c'est un feux d'artifice d'émotions constant qui se trouvent dans ses grands yeux d'ébènes, à la forme si particulière. En amandes, fines.
Finalement, à bien y regarder, Yoo Yu Jin n'a rien d'un jeune homme banal qui aurait été frappé par la vie. Dans tous les cas, c'est comme s'il n'avait pas senti les coups tomber sur son dos.
Ca ne reflète pas qui je suis vraiment
De ce que je peux voir, Yoo Yu Jin est un jeune homme sans le moindre complexe. Il est capable de parler de tout, avec une facilité déconcertante. Il suffit de quelques minutes pour comprendre qu'un rien l'intéresse, qu'un simple détail peut l'émerveiller. Intelligent, évidemment qu'il l'est. Sa famille ne pourrait supporter que son héritier ne soit pas en état d'aligner deux mots cohérents. Or, là est tout le contraire. Lorsque Yu Jin se met à parler, nous ressentons cette envie irrépressible de l'écouter avec attention. Il serait capable de rendre passionnant ce que tout le monde trouve inintéressant. Car en plus d'avoir de la culture, le garçon est aussi drôle qu'il peut user de sarcasme. Il faut dire que l'art de la locution n'a aucun secret pour lui, et il sait s'en servir. C'est un jeune homme qui brille de par son assurance et sa détermination.
"Impitoyable, je le suis. Je n'écoute ni les cris, ni les pleurs. La pitié est pour les faibles, et on ne m'a pas appris à faire partis des faibles."
Socialement parlant, Yu Jin représente ce jeune homme que tout le monde adule. Il n'hésite pas à aller à la rencontre d'autrui, n'ayant aucun mal à engager une conversation avec le plus parfait des inconnus. Il est aussi ouvert qu'il semble être accessible. Il peut être aussi remarqué qu'effacé. S'il choisit de l'être, alors Yu Jin sera d'une telle discrétion qu'il nous serait probablement impossible de le voir au milieu d'une foule. Disons, qu'enfant, il gagnait les parties de cache-cache. C'est aussi une faculté dont il aime se servir, notamment pour échapper aux nombreux galas que son rang l'oblige à tenir.
Car si Yu Jin a un sens aigu du devoir envers sa famille et ce que l'on attend de lui, il n'en est pas moins qu'il n'est pas pleinement satisfait en se tenant à la place d'héritier. Pour lui, qui a toujours eu tout ce qu'il voulait en ayant qu'à claquer des doigts, l'argent n'est qu'un détail insignifiant. Il sait qu'il en a à faire pâlir d'envie la plupart des jeunes de son âge, mais il ne serait pas du genre à en faire une affaire importante. Beaucoup dirait qu'il est humble, bien trop humble. C'est loin d'être le cas pourtant. Il est simplement lassé par ce que cet argent lui apporte quotidiennement. Chacun de ses gestes étant surveillé, il se sent rapidement étouffé. Les responsabilités, Yu Jin aimerait pouvoir les fuir et ne jamais avoir à les supporter. C'est ce qui l'a poussé, plus jeune, à faire entendre son opinion sur ce qu'il devait faire en tant que successeur. Alors, ce que beaucoup envie de lui, il n'hésiterait pas à leur donner sans ciller. Juste pour pouvoir vivre une jeunesse normale, ne pas se soucier de l'apparence ou de ce qu'il doit faire pour porter fièrement le blason familial.
Ce qui a énormément joué dans ses relations, aussi bien amicales qu'amoureuses. Si Yu Jin a déjà eu plusieurs petites amies, il n'en a rien gardé de sérieux. Elles n'étaient pas assez riches, pas assez belles, pour pouvoir se vanter d'être en couple avec un Yoo. Inutile de préciser que tomber amoureux, il n'en a jamais eu l'occasion... Alors maintenant qu'il se retrouve fiancé contre son gré, il ne trouve la force d'aller contre la décision de ses parents. Il ne voit cette union que comme un devoir de plus qu'il doit accomplir en tant qu'héritier.
Parce que se rebeller contre la cage dorée dans laquelle il vit, il a cessé de le faire à la mort de son frère ainé. Depuis, il ne fait que subir, sans rechigner.
A partir de ça, je suis capable de deviner qu'il est capable de manipulation. Un sourire charmeur, un mot plus aimable que l'autre, une légère allusion, et Yu Jin se voit obtenir ce qu'il désire sans avoir à attendre une seconde de plus. Il arrive facilement à discerner le point faible de son locuteur afin de s'en servir contre lui. S'il doit mentir pour s'en sortir, alors il le fera. Qui pourrait aller contre sa parole? Je répète qu'il sait parfaitement ce qu'il fait. Et ce qu'il veut.
"Il n'y a que lorsque le sang coule sous mes yeux, que je sais ce que représente la vie. Que je me sens enfin vivant. C'est une adrénaline qui me rend légèrement... Hystérique."
Il y a quelque chose qu'il faut également relevé dans le caractère de Yoo Yu Jin et qui fait partie intégrante de sa façon d'être. Le fait qu'il ne puisse rien ressentir physiquement, aucune douleur, aucun symptômes, le laisse souvent penser qu'il ne risque rien. S'il a toujours été choyé et protégé, ça ne lui a donné que plus envie de se tester. Depuis tout petit, il entend dire qu'il est infaillible par la personne en qui il a placé toute son attention, alors inévitablement, il a finit par y croire. Il en joue, toujours. Il pousse les limites jusqu'à se mettre réellement en danger parfois. Lorsqu'on lui demande de quoi il pourrait bien avoir peur, il a ce sourire en coin qui en dit long, avant de simplement répondre, qu'il n'a peur de rien.
"Je ne crains plus rien, je n'ai peur de rien. La douleur ne devient qu'une blague dont je ne connais pas la chute."
Yoo Yu Jin semble donc être l'héritier parfait, idéal pour une telle famille.
"Semble, seulement."
Ce sont mes souvenirs qui font ce que je suis.
Il garde les yeux rivés sur la fenêtre, ne me regardant pas une seule fois. Nerveux? Non. Il s'en fiche. Il reste impassible, et pourtant, il y a cet éternel rictus au coin de ses lèvres... Il va commencer à parler, je le sais.
Par quoi dois-je débuter? Quelque chose comme, il était une fois? Ou bien vous allez me dire ce que je fais là?...
Je suis né le 31 décembre 1992, le dernier jour de l'année. Ca n'a pas la moindre importance, mais j'aime bien souligner ce fait, allez savoir pourquoi. Pourtant, ce n'était qu'une journée ordinaire pour le reste du monde. Sans neige, sans tempête. Il n'y a pas eu de grands évènements notables non plus. Mais je suis né. Or, moi, je suis loin d'être ordinaire.
Je suis malade. Enfin, les médecins disent que je le suis. Mais peut-être vraiment considéré que c'est une maladie? Je ne l'ai jamais vu en tant que tel. A à peine un an, j'ai été diagnostiqué comme atteint d'insensibilité congénitale à la douleur. Vous savez ce que ça signifie? Je ne ressens rien. Physiquement parlant, bien sûr. Vous pourriez me planter votre stylo profondément dans la paume, je n'aurais pas le moindre chatouillis pour me le prouver. D'aussi loin que je me souvienne, je n'ai jamais ressenti la plus petite souffrance. Pourtant, des bleus, des os cassés, des coupures, j'en ai eu. J'ai encore une multitude de cicatrices pour me le rappeler. Ca peut paraître vraiment cool, dit de cette façon n'est-ce pas? Ca le serait, s'il n'y avait pas énormément d'inconvénients. Comme la fièvre qu'il faut toujours contrôler pour être sûr qu'elle ne soit pas au-dessus de la moyenne. Ou alors les check-ups réguliers afin de s'assurer qu'aucun organe est en défaillance, que mes os soient toujours entiers... Mais ça, ce ne sont que des détails. Le fait est que depuis ce jour où l'on m'a découvert mon syndrome... Je suis sous constante surveillance. Ma mère a engagé des dizaines de nourrices, simplement pour être certaine que rien de mal ne puisse m'arriver.
Je viens d'une de ces grandes familles qui dirigent la plupart des entreprises de ce pays. Ce n'est pas vraiment un choix, vous vous doutez bien. En soit, ça ne m'importe pas de savoir que mes parents ont assez d'argent pour assumer des générations après la mienne. J'ai dû subir l'école à la maison jusqu'à mon entrée au collège, -collège privé, bien évidemment- me privant de toute vie sociale jusqu'à cet âge. Si l'on exclue les nombreuses soirées mondaines auxquelles j'assiste depuis mon enfance. En soit, je n'ai pas vraiment à me plaindre. J'ai une grande maison, de l'argent à n'en plus pouvoir, et un minimum de pouvoir sur les affaires du pays. Oh, et désormais, j'ai aussi une fiancée et un travail offerts sur un plateau d'argent. Pourquoi? Eh bien, c'est la raison pour laquelle je suis dans votre bureau, n'est-ce pas?
Parce que mon frère est mort. Il y a trois semaines, à peine.
Lentement, il baisse la tête. Je vois ses paupières se fermer alors que ses poings se referment lentement sur ses genoux. Nous entrons dans le vif du sujet, alors. Ce pour quoi ses parents l'ont envoyés me parler?
Il s'appelait Su Won. Il est... Il était mon grand frère, de cinq ans mon aîné. Et honnêtement? Il était mon tout. Mon modèle, mon soutien, mon confident. Dès ma naissance, il a été la personne avec qui j'ai été le plus proche. Nous avons grandit ensemble, littéralement puisque j'étais toujours à ses côtés. Comment le définir? Nous étions comme des reflets dans le miroir. Si j'étais le protégé, il était le fils prodige. Sage. Tranquille. En apparence du moins, car en réalité Su Won était le premier à foncer tête baissée. Je me souviens de toutes ces fois où il m'a entrainé avec lui, dans toutes sortes d'aventures, juste pour tester mes capacités. Il m'appelait "SuperMan". Pourquoi? Ah... Parce que je suis incapable d'avoir mal. Depuis que nous sommes tout petit, il pensait que ma maladie agit telle une sorte de pouvoir, persuadé que je suis immortel. J'ai finis par le croire, inévitablement.
C'est lui qui aurait dû reprendre l'entreprise, il aurait dû être à ma place. L'enfant parfait. Du moins, aux yeux de mes parents. Mais il y a tellement de choses que les parents ignorent sur leurs enfants, c'est fou.
Quand j'ai eu quinze ans, j'ai eu pour la première fois l'impression de perdre mon frère. Il rentrait tard à la maison, de plus en plus. Il avait l'air nerveux, et m'évitait lorsque je l'appelais. J'ai commencé à le suivre, discrètement, mais rien de ce que j'ai pu voir à cette époque ne m'a révélé quoique ce soit. Quand j'y pense aujourd'hui, ça n'a rien d'étonnant. Il n'avait plus rien de ce grand frère que j'ai admiré tout au long de mon enfance... Jusqu'au jour où il est apparu devant moi, avant ce grand sourire fier qu'il abordait à chaque fois qu'il avait une idée. C'est ce même jour qu'il m'a emmené le voir.
Cet homme, Kim Do Jun, au visage aussi froid que doit l'être son coeur. J'avais à peine dix-neuf ans à l'époque, je ne comprenais pas vraiment ce que je faisais face à un politicien en vogue. Mais lui, m'a adressé un de ses rictus que j'ai l'habitude de voir aujourd'hui, et m'a fait ce que beaucoup ont déjà essayé de faire. Voir si mon incapacité à ressentir la moindre douleur est réelle. J'ai encore la marque de l'une de ses cigarettes écrasée sur la peau de mon bras... J'avais quelque chose de plus que les autres, mon corps ne réagissait pas de la même façon face à ses menaces, or ça, ça lui plaisait.Puis, il m'a placé une arme entre les mains. Je ne me suis pas rendu compte immédiatement qu'il était en train de me tester, et que ce test, je l'avais réussi haut la main. Mon frère m'a accompagné lors de mon premier meurtre. Il m'a expliqué que c'était un nouveau jeu, dont les règles étaient seulement décidées par ce que je tenais au creux de ma paume. C'était mon premier twao, un jeune homme à peine plus âgé que moi. Choisis au hasard sur l'une des listes qui les recense. Je n'ai pas hésité une seule seconde. Je l'ai regardé directement dans les yeux, sans ciller. J'ai vu la peur s'y installer, mais j'ai tiré. La lueur qui s'est allumée dans son regard à cet instant, j'en suis devenu affreusement dépendant. Ce simple éclat de souffrance, qui ne dure qu'un temps avant de s'éteindre définitivement. J'ai entendu le rire de mon frère s'élancer dans mon dos, alors que le corps de ma victime restait étendu sur le sol froid d'une rue vide. En ce qui le concerne, je n'ai jamais compris la raison qui l'avait poussé à entrer dans cette organisation meurtrière, il ne me l'a jamais réellement expliqué d'ailleurs. Mais pour ma part, c'est cet appel à la douleur que je peux apercevoir dans les pupilles de mes victimes. Les twaos? Ils existent, tant pis pour eux. C'est tout ce que je pense à leur sujet. Je ne les déteste pas de la même façon que mon ainé avait de les haïr... Mais ça ne m'empêche pas de faire mon travail. Et, aussi étonnant que cela puisse paraître, j'aime mon travail.
Je fronce les sourcils, sans savoir quoi penser de son récit. Il a l'air si calme, si tranquille, en racontant la façon dont il est capable de tuer de sang froid... Pourtant, il a sur ses traits un air sérieux qui trahit
Sa mort, je l'ai apprise par l'un de mes 'collègues'. Je m'en souviens encore, mot pour mot: "Su Won a été tué lors d'une mission. C'et un échec." Pas de détails, pas de débats. L'affaire a même été étouffée par mes parents, qui ne voulaient pas attiré l'oeil sur le fait que peut-être leur fils parfait aurait pu être mêlé à une quelconque organisation illégale. C'est ce qui m'a le plus choqué. Ils n'ont pas pleuré, pas versé la moindre larme. Ils n'avaient pas perdu un fils, ils avaient tragiquement perdu leur héritier. Vous savez, je ne ressens peut-être rien physiquement, mais pour ce qui est du manque, ou de la peine causée par la perte d'un être que l'on aime, je ne suis pas insensible. Et j'en brûle encore doucement mais sûrement aujourd'hui.
C'est la raison pour laquelle je suis là, à vous parler de toutes ces choses sans le moindre intérêt. Parce qu'ils ont besoin d'avoir quelqu'un sur qui compter, quelqu'un pour reprendre la place qui lui était destiné, et pas d'un fou qui pourrait s'effondrer d'un instant à l'autre.
Un sourire immense apparu sur ses lèvres alors que ses yeux se dirigèrent lentement vers moi. Ce n'est pas un rictus agréable, comme j'ai eu l'habitude de le voir depuis le début de la séance. Celui-là, est bien plus malsain. Bien qu'il ait soudainement l'air particulièrement heureux, trépignant sur son siège avec une impatience palpable.
Mais... Vous savez ce qui est le plus triste dans cette histoire? C'est que vous êtes innocent, vous l'êtes et pourtant, je vais devoir vous tuer. Vous en savez bien trop. Puis, comme je vous l'ai dit plus tôt...
J'adore ça.
Derrière l'écran, je suis Devine!, j'ai 19 ans, et je fais du RP depuis 2 ans. Je suis ici grâce à le serial kisseur et le procureur psychopathe, et je souhaite passer par ici environ 7/7 jours. Ah oui, j'oubliais ! Le code du règlement c'est : «Validation par le procureur chéri».
Test RP:
ici un RP que vous avez déjà fait ou un que vous inventez.
Tu peux aussi demander à avoir une maison ou un appartement sur ce topic. Tu trouveras des codes utiles pour tes RPs ici, et n'hésite pas à aller relire les annexes. En cas de question, viens la poser ici, et en cas d'absence, signale-le ici.
Si tu es Twao, la Liste des Twaos t'es ouverte, et recense-toi !
Un dernier mot ?
Et un timbré de plus, et de un! #PAN Tout pour me mettre des ennemis en plus hein....A croire que vous le faites exprès. U_u Sinoooon ma Cherry j'adooore cette histoire complètement glauque. XD Comme d'hab'. Surtout le point de vue que tu as pris pour faire ta fiche ~ *o* Donc amuse toi encore plus avec Yu' et son esprit dérangé. #PAN Héhé ~