jang bo young * keep your head up, crazy doll } acceptance
Auteur
Message
« Invité »Invité
Sujet: jang bo young * keep your head up, crazy doll } acceptance Sam 7 Juin - 20:36
jang bo young
feat. park sojin
« you say that i'm kinda difficult, but it's always someone else's fault.»
Âge. 20 y.o. j'ai encore la vie devant moi. Date de naissance.21 avril 1993 Situation amoureuse.célibattante jusqu'au jour où son prince viendra.ou bien, si vous voulez, mariée à des personnes qui ne la connaissent pas en vrai. ou à ses posters. Activité.dj la nuit. étudiante en horticologie. Groupe.humaine,acceptance. But.avoir une vraie pépinière ou du moins, un magasin horticole pour ne plus avoir à dépendre de ses parents.
once upon a time.
from zero to twelve. Bo Young est née en pleine saison florale. Saison plus communément appelée Printemps. Devinez où était-elle née? A New York. Plus précisément, dans un hôpital de Manhattan, l'arrondissement huppé de New York. Elle y avait passé quasiment toute son enfance. Elle a sans doute été la première fille de la petite famille déjà composée de deux autres frères aînés. On peut dire qu'elle est "née avec une cuillère en argent dans la bouche" . Sauf qu'elle n'aime pas ce terme. Elle aurait préféré être née dans une famille modeste, aimante et vivant dans son pays natal plutôt que de vivre dans une famille où l'argent coulait à flot mais où personne ne s'aimait. Personne ne l'aimait. Elle est née d'une grossesse indésirée. Sa mère ne s'en était rendue compte qu'après les trois mois. Elle avait donc été mise au monde avec la plus grosse haine du monde. Imaginez les supplications de ses parents pour qu'on essaye de la mettre dans un orphelinat, sauf que toutes leurs demandes étaient refusées. Ils avaient donc du la prendre en charge, malgré eux.voilà qu'on a un bébé en plus des deux autres mômes. et une fille, en plus. Voilà. Ils la haïssaient. Les seules valeurs qu'on avait essayé de lui inculquer étaient totalement...ça n'a même pas de mot descriptif, en fait. Pour résumer, on lui demandait toujours d'être la meilleure, de se montrer toujours au top du top. Ils avaient tout fait pour qu'elle ne connaisse jamais le vrai bonheur. Malheureusement pour eux, elle ne les avait jamais écoutés et n'en faisait qu'à sa tête. Depuis son plus jeune âge, elle faisait tout pour échapper à ses professeurs, tout pour leur retourner le cerveau. Une vraie rebelle. Ça ne l'avait pas aidé, au contraire, ça n'avait fait qu'empirer les choses.
from thirteen to eighteen. L'adolescence. L'âge des changements. L'âge des premières décisions. L'âge des premières sorties, des premières fugues. L'âge des premières tentations. Lorsqu'on est jeune, on est insouciant, non? Jeune et con. Voilà ce qu'on pouvait dire d'elle. Elle savait qu'il y avait des tensions entre ses parents, et en profitait un maximum. Elle multipliait les conneries, faisait tout pour se démarquer des autres gosses de riches, s'habillait de façon extravagante, se teignait les cheveux de toutes les couleurs possibles, si bien que ses cheveux en avaient pris un bon coup. Ses parents avaient fini par divorcer, à cause de leur fille mais surtout à cause cet air de trahison qui flottait autour d'eux. Chacun avait réussi à obtenir la garde d'un des enfants. Bo Young avait été obligée d'accompagner son père et son plus grand frère jusqu'en Corée, à Séoul, là où se trouvent ses vraies racines, ses origines, ses ancêtres. On avait malgré tout tenu à ce qu'elle apprenne sa langue maternelle, que ce soit à l'écrit ou à l'oral. En dépit de son amour pour son pays qu'elle retrouvait au moins une fois par an, elle savait qu'elle allait regretter New York, l'American Dream, les danses de rue, les spectacles de rue, les soirées qu'elle avait passées dehors en compagnie de ses amis. A quinze ans, on a quand même le droit de sortir, non? Evidemment, elle était soumise à un couvre feu, au grand dam de ses amis les New Yorkais. En dehors de ce petit bémol, elle aimait vraiment son pays d'origine, sa culture et sa musique, aussi. Il faut avouer qu'elle n'avait pas du tout réussi à s'intégrer en classe. Ils l'admiraient, la jalousaient et ne comprenaient pas le fait qu'elle n'aimait pas sa vie, le tout en même temps. Sa famille faisait partie d'une des plus connues, elle avait passé toute sa vie aux Etas Unis, LA première puissance économique mondiale, LE pays par excellence et elle n'était pas satisfaite de sa vie? En y pensant, elle aurait bien aimé échanger sa vie avec le premier venu. Les relations avec son père étaient on ne peut plus compliquées, et son frère n'arrangeait pas du tout les choses. Sa vie avait tourné au calvaire. Elle était pire que ce qu'elle imaginait. Entre les préjugés sur elle au lycée, les disputes entre elle, son père et son frère qui s'adonnait aux substances illicites, entre elle et sa mère, tout. Tout lui donnait envie de quitter ce monde. On l'aurait pris pour une folle si elle leur avait dit qu'elle avait un espoir au fond d'elle. On l'aurait jugée, encore plus qu'avant. On l'aurait pointée du doigt, on l'aurait insultée, si elle avait dit que malgré tout, il y avait quelque chose qui la poussait à rester en vie.
from nineteen to now. Après avoir fini son école secondaire, elle avait directement postulé pour devenir disc jockey. Et c'est lors d'une nuit qu'elle avait découvert quelque chose. Quelque chose qui l'avait marquée à vie. Des êtres surhumains, aux apparences trompeuses, existaient. Les Twaos. Ce sont des personnes qui vivent comme nous, mais qui ont un pouvoir en plus. Certains sont obligés de le donner, d'autres, sont obligés de le recevoir pour devoir survivre.Elle se rappelle très bien "les" avoir vus. Son frère et une autre personne qu'elle n'avait pas réussi à voir à cause du manque de lumière de cette boîte. Depuis, elle n'a cessé de faire des recherches sur eux, sans pour autant leur dire qu'elle connaît leur existence. Elle le sait, elle sait qu'ils vivent normalement, mais leur petit plus fait d'eux des personnes spéciales qui méritent de l'attention.
people will never see her pain.
Bo Young, c'est le symbole même de la joie de vivre. Malgré tout ce qu'elle a vécu, elle reste optimiste et est vraiment soucieuse quand on parle de ses amis. Enfin, du peu d'amis qu'elle a.C'est vraiment une personne sur qui on peut compter, qui n'hésite pas à vous venir en aide, même si elle ne vous connait pas. Elle, le symbole même de l'innocence? Laissez moi rire! Plus perverse qu'elle, ça n'existe pas, je vous le garantis. C'est également une geek, une gameuse et une otaku. Beau combo n'est ce pas? Elle aime bien s'incruster dans les discussions de gameurs, et passe tout son temps dans les salles d'arcades où chez les vendeurs de jeux vidéos. Ou bien lors des tournoi internationaux des gameurs. Elle avait développé cette passion lorsqu'on l'avait rejeté, lorsque le monde l'avait rejeté, lorsque ses parents avaient décidé de l'isoler dans un coin. C'est vraiment quelqu'un de jovial, en fait. Mais bien sûr, le monde n'est pas parfait. Les gens ont des qualités et des défauts, et elle ne fait pas exception à la règle. En vrai, malgré le fait qu'elle essaye de se montrer forte, la peur est toujours présente. Elle a peur du futur. Elle a peur de se faire abandonner. A cause de ça, elle fait souvent des crises d'angoisse. C'est une somnambule. Il faut que tout soit bien verrouillé lorsqu'elle dort, parce que sinon, elle peut très bien sauter de la fenêtre. Elle est lunatique et, malgré le fait qu'elle pue le bonheur et tout le reste, elle reste quelqu'un de dépressif. Des fois, lorsqu'elle est seule, elle se met à pleurer, sans aucune raison. Peut être que ce qu'elle a vécu lui retraverse l'esprit. Elle est très frivole, aussi. + bipolaire + dépressive + insomniaque + flemmarde + perverse + bavarde + colérique + craintive + naïve
Niveau physique, Bo Young est une très belle jeune femme. Moyenne de taille, poids parfait, de longs cheveux qu'elle n'hésite pas à teindre de toutes les couleurs, et un style vestimentaire bien à elle.Sa façon de s'habiller en a surpris plus d'un. Excentrique, tout comme elle. Elle aime quand ça pète, quand il y a des couleurs, quand elle se fait remarquer. Voilà. C'est Jang Bo Young, vous ne pouvez pas la changer. Lorsqu'on la voit pour la première fois, on la catégorise directement parmi les pestes, les hautaines, qui se sente obligées de s'acheter tout ce qui sort, et qui passe son temps à parler de la nouvelle collection Chanel. Sauf qu'elle est tout le contraire de "ces filles". En ce moment, ses cheveux sont d'un rouge pétant, pour ne pas changer. C'est bien de se faire remarquer dans la rue, de se faire siffler par des beaux gosses. Sauf qu'elle est explosive. Abusez et vous comprendrez. M'voyez, les bombes nucléaires et tout. Pas niveau physique, mais niveau caractère. N'essayez pas de l'énerver, elle vous pétera la gueule avec plaisir. Il y a des choses qu'elle essaye de cacher, des choses qui l'effraient, des choses qui la marquent à vie: les cicatrices présentes dans ses avant-bras et dans son dos. Celles de ses avant bras sont surtout dues au lames de rasoir qu'elle a utilisées plus jeunes et qui ne veulent plus disparaître, et celles de son dos, à cause de son grand frère le drogué qui n'hésitait pas à la brûler si elle ne lui rapportait pas son argent quotidien. Elle arrive très bien à les cacher avec de gros bracelets et du fond de teint. Lorsqu'une personne les découvre, elle n'hésite pas à mentir pour protéger son honneur et celui de sa famille. Tout ça est une preuve que malgré toute la richesse qu'une famille peut avoir, malgré l'empire qu'elle peut avoir construit, lorsqu'une famille est pourrie de l'intérieur, elle ne peut que finir par s'effondrer.
Derrière l'écran, je suis aya, ou bien yeonnie, j'ai quatorze ans, et je fais du RP depuis trois bonnes années. Je suis ici grâce à un partenariat, et je souhaite passer par ici environ 4/7 jours. Ah oui, j'oubliais ! Le code du règlement c'est : «Validé par Ryuuu~».
Test RP:
YeonRa posa son casque audio près de son disque qu’elle chérissait tant, puis soupira longuement. Le videur essayait de faire sortir un pauvre adolescent totalement ivre qui avait essayé d’agresser une fille pas aussi consciente que ça, mais, malheureusement pour lui, elle avait crié. Les seules personnes qui restaient étaient les gérants de la boîte qui étaient assez fiers de leur récolte nocturne. Bah oui, on était vendredi, il y aurait sûrement autant de monde que le samedi. Même si cette boîte était continuellement pleine à craquer. Elle descendit de la scène prudemment, les yeux bien ouverts et rougis. Son maquillage avait disparu il y a longtemps. Bien sûr, elle avait prit le soin de remettre une légère couche de fond de teint. La sueur couvrait son visage et tout son corps, faisant coller ses vêtements contre sa peau. Ce sentiment de saleté la dégoûtait. Mais bon, c’était les mauvais côtés du métier. Et elle ne pouvait rien y faire.
Elle salua encore une fois les videurs et tout le personnel puis sortit, prenant soin de ne pas se faire remarquer par les joggeurs qui, pour la plupart, connaissaient son père avec qui elle s’était fraîchement disputée la veille. Elle était sortie en cachette et ce, après avoir bien pris soin de masquer son départ en passant par la fenêtre. Connaissant les discussions de bourgeois de ces derniers, ils n’auraient pas hésité à aborder le sujet. Et ça aurait chauffé, après. Elle n’avait pas envie de devoir se taper une heure de discussion avec son père qui passait tout son temps à essayer de «lui redonner raison». Il ne faisait que perdre sa force puisque, jamais, ô grand jamais, elle n’abandonnera cette passion qu’elle avait pour le disque.
Les premiers rayons de soleil faisaient timidement leur apparition lorsqu’elle était arrivée chez elle. Ayant oublié ses clés, et sachant que ses parents étaient sûrement en train de dormir, et vu leur sommeil vraiment vif, elle opta pour des acrobaties matinales, ce qui peut être traduit par : sauter comme une putain de conne à travers les étages de la villa, à cinq heures et demi du matin, en mode zombie, en s’accrochant aux rambardes comme une grosse somnambule. Ca ne la branchait pas autant que ça, mais aucune solution faisable – même si c’était un peu du suicide – ne lui venait à l’esprit, encore brouillé par les quelques –je dis bien quelques !- verres de bière qu’elle avait bus. Dès qu’elle ouvrit la porte du balcon qui menait à sa chambre, elle ne s’était pas faite prier de se jeter sur son lit king size sans même changer de vêtements ni de se doucher.
three pm, saturday.
La jeune femme se réveilla aux environs de quinze heures, les cheveux en bataille, de l’eyeliner noir devenu complètement crade et qui a tâché ses draps, la bouche sèche et cette terrible envie de s’écrouler par terre sans ne plus jamais se réveiller qui la torturait. Ses oreilles sifflaient encore et ses vêtements refroidis lui donnaient envie de se jeter par la fenêtre. Bref, elle était diablement sexy. La disc jockey qui ne ressemble qu’à une meuf du coin que l’on peut retrouver dans les casinos après une folle soirée à déplumer les milliardaires pour l’instant se dirigea mollement vers la porte de sa chambre, les pieds nus, vers la salle de bain, puis referma la porte derrière elle. Elle se regarda dans le miroir. Son état était pi-toy-able. C’était à ça qu’elle ressemblait lorsqu’elle se réveillait ? Elle avait juste envie de se foutre de sa propre gueule. En plus de ça, ses cheveux avaient commencé à pousser. Adieu le noir ébène, rebonjour les cheveux châtains de naissance. Non. Ça non. Elle tourna le levier puis laissa l’eau couler, tout en profitant de ce moment de calme pour retirer ses vêtements tout crades.
Parfaitement habillée, les cheveux fraîchement teints en noir, YeonRa se sentait à l’aise, et soudainement bien plus pétillante. Elle alluma son ordinateur, mit de la musique puis se sentit parfaitement apte à danser. La chorégraphie qu’elle venait d’apprendre la rendait tout simplement de bonne humeur. Et ça lui donnait envie d’en apprendre encore plus sur ce style de danse dans lequel elle baignait depuis deux années déjà et que son père –pour ne pas changer- n’appréciait pas vraiment. Sa mère, par contre, lui offrait tout ce qu’elle voulait. Pourquoi ? Parce que pour elle, sa fille doit être parfaite, doit avoir une réputation parfaite, et surtout, doit avoir une façon de danser fluide. Et ça l’était. Peut-être n’a-t-elle pas la même vie que les autres filles à papa, peut-être était-elle la moins dépendante financièrement de ses parents, peut-être sortait-elle du stéréotype de la gosse de riche parfaite, mais tout ça lui plaisait.
La danseuse s’écroula sur son lit après avoir fini. Satisfaite, elle prit son téléphone puis envoya directement un message à une personne bien distincte des autres. Son…Sexfriend. Minsoo. Vous vous demandez sûrement pourquoi enverrait-elle une personne comme ça à un tel moment de la journée, surtout que ses parents étaient présents. Et bien tout simplement parce qu’à eux deux, ils forment un duo d’enfer. Ils sont tous les deux passionnés par la danse, et voilà. Le message envoyé, elle descendit manger un bon gros bol de céréales devant Bob L’Eponge avant d’aller se préparer pour sortir. Elle en profita pour parler un peu à sa mère qui était bizarrement de bonne humeur et qui lui permit sans hésiter de sortir –de toute façon, elle l’aurait fait en cachette et ils n’y auraient vus que du feu-
Elle avait passé quatre bonnes heures à parler avec sa mère, de tout et de rien. Cette complicité lui avait manqué, il fallait l’avouer. Elle l’avait même aidé à appliquer son vernis à ongles noir. Sa mère avait des doigts de fée, et ça, elle en était secrètement fière. Il faut avouer, il n’y avait pas vraiment beaucoup d’écart d’âge : sa mère était tombée enceinte à dix huit ans. Il faut avouer que c’était l’âge idéal. Depuis, elle n’avait plus envie d’avoir d’enfants, une YeonRa c’est suffisant.
La YeonRa phénoménale remonta les escaliers rapidement : elle était déjà assez en retard comme ça. La boîte dans laquelle elle allait était branchée, réservée aux riches et il fallait avoir un pass vip pour monter au deuxième étage. Pass qu’elle avait, bien sûr. Le style de la boîte était américanisé, ce qui lui permettait de s’habiller plutôt de façon street. Elle s’habilla puis rajouta un petit short en jean noir comme touche finale. Elle se contenta d’un regard noir charbonneux et de ses piercings dorés en forme de croix sur son oreille droite, puis elle descendit. Sa mère, toute joyeuse, ne faisait que la complimenter et avait même proposé de la déposer. Toute gênée, elle avait refusé, et ça n’avait fait qu’agrandir le sourire de sa mère. Elle était là, à quelques mètres de la boîte, en train de poiroter et se faisant aborder par n’importe gosse de riche. Elle les envoyait tous chier, bien sûr. … . Minsoo. Elle fit de grands signes en sa direction.
« putain tu pouvais pas te bouger un peu? si j’attrape froid, tu sais que c’est de ta faute, hein. »
Sujet: Re: jang bo young * keep your head up, crazy doll } acceptance Dim 8 Juin - 11:23
Dès que j'ai vu "Yeon Ra" dans le test rp, m'en suis doutée 8D Je suis Na Yung sur Hongdae Style /o/ *big hug* Bienvenue sur HF en tout cas *-*
« Invité »Invité
Sujet: Re: jang bo young * keep your head up, crazy doll } acceptance Dim 8 Juin - 11:58
MA NAYUNG ILY SO MUCH HEIN VIENS JVEUX FAIRE DES BABIES DANS UN COIN SOMBRE. DSL TROP DE FEELZ TAHU. /biggest hug eva/ sinon merci ♥ edit: j'ai fini sinon :3
Messages : 417 « Lee Se Jong »TWAO ☆ Nymphe Administrateur
Sujet: Re: jang bo young * keep your head up, crazy doll } acceptance Jeu 12 Juin - 21:29
Tu peux aussi demander à avoir une maison ou un appartement sur ce topic. Tu trouveras des codes utiles pour tes RPs ici, et n'hésite pas à aller relire les annexes. En cas de question, viens la poser ici, et en cas d'absence, signale-le ici.
Si tu es Twao, la Liste des Twaos t'es ouverte, et recense-toi !
Un dernier mot ?
Wow. J'adore ton perso'. Il a une histoire complète, qui construit très bien son comportement et son caractère. Tu écris super bien. C'est très agréable comme style en plus d'être clair! J'adore! *je me répète* J'espère que tu vas bien t'amuser parmi nous! Go ~