Âge.22 ans Date de naissance.15 janvier 1991 Situation amoureuse.gay & totalement inexpérimenté Activité.Travaille dans une agence de mannequinat en tant que larbin stagiaire Groupe. Résistance But. devenir mannequin & empêcher Mei de s'éloigner de moi
Beautiful Stranger
Une tête de tueur plantée sur le dessus d'un corps bien sculpté d'un mètre quatre-vingt un. Un corps poli par plus de quinze ans d'arts martiaux, aux muscles fins dessinant les contours d'une silhouette peut-être un peu trop maigre par rapport à sa taille et à sa musculature, et couvert de cicatrices laissés par des coups qui ne lui étaient pas destinés. Une peau halée naturellement. Des yeux de félins noirs comme la nuit et, assez étrangement, qui paraissent plein de vie malgré son dégoût apparent pour tout - le reflet de ses vrais états d'âme, qu'il garde enfouis au fond de lui. Des poches sous ces yeux qui lui ont valu de nombreuses critiques, des « faut dormir la nuit ! » et un surnom universel de « panda-boy » alors qu'il ne se souvient pas avoir un jour vécu sans elles. Un nez qui l'a longtemps complexé ; trop gros, trop long, tordu, bref, pas ce que Ming désirait. Des lèvres fines qui sont la plupart du temps tordues en un rictus ironique. Des cheveux sombres, rasés sur les côtés et retombant en mèches organisées au millimètre près sur son front. Un visage qui pourrait se fendre de l'air le plus innocent du monde et vous ferait vendre père et mère, mais qui à la place renvoie une impression de froid glacial et peu avenant. Ming a perdu depuis longtemps l'habitude de sourire avec le cœur et d'empêcher ses yeux de le faire passer pour un véritable serial-killer. Il a préféré abandonner son allure enfantine pour orner ses oreilles de piercings, couvrir son corps de vêtements étroits ; son but est simple, se faire remarquer, sans qu'on puisse le cerner. Croisez Ming un jour dans la rue, il sera affublé d'une veste en cuir noir, de grosses boots et d'un jean déchiré, croisez le lendemain, il arborera un pull au motif léopard et un slim ceignant des jambes si fines que vous vous demanderez comment elles portent une carrure pareille. Mais vous le reconnaîtrez. Parce qu'il vous adressera ce même sourire en coin moqueur.
Under my skin
Le vrai Ming, quel est-il ? Lui-même n'a plus l'air de vraiment savoir qui il est. Trop longtemps abîmé par les autres. Avant, il y a longtemps, il était souriant et vif. S'il n'a rien perdu de sa vivacité, il est par contre possible que celle-ci ait évolué d'une manière assez malsaine. Ming a développé un côté cassant au fil des années ; il a gagné ce côté "réponse à tout" que beaucoup de gens détestent. Lui le premier. Il a horreur qu'on lui réponde d'un air suffisant mais est bien incapable de s'empêcher d'agir de même. Parce que les gens l'exaspèrent souvent. Il a en horreur les gens qui lui parlent comme à un enfant, ou un idiot, et malheureusement depuis son arrivée en Corée, c'est très souvent le cas. Il ne peut s'empêcher d'afficher cet air froid et implacable sur son visage partout où il va ; de toute façon, son "visage de serial-killer" comme il est souvent qualifié effraie souvent les gens, pourquoi tenter de leur faire comprendre qu'il a autre chose à faire que menacer son environnement pour le plaisir. Il n'y peut rien, c'est son visage, et il a grandit en apprenant à faire avec. Il mettra toujours une certaine distance entre lui et le reste du monde. Depuis sa plus tendre enfance, il n'a jamais été proche que d'une seule personne, sa sœur Mei ; il n'est franchement pas doué pour tout ce qui est social. Malgré cela, il peut tout à fait se lier d'amitié avec des gens. Cela demande juste beaucoup de patience, des deux côtés ; pour que Ming apprenne à faire confiance aux gens et à s'ouvrir sans considérer le monde entier comme une menace. Néanmoins, il n'a encore jamais trouvé quelqu'un à qui il puisse tout dire, confier tous ses sentiments sans avoir peur ; même à sa propre sœur, son petit bijou et unique trésor, il est incapable de tout dire. Il est rongé de l'intérieur par l'impression constante d'être jugé, pour le moindre de ses gestes et de ses sentiments. Mais pas pour ses paroles. Ce qu'il pense d'une personne ou de quelque chose, il le dira, même si c'est blessant ; il n'a strictement aucune retenue lorsqu'il s'agit de donner son avis sur quelque objet. Peu lui importe le fait qu'il puisse froisser quelqu'un, si cette personne lui déplaît il le dira. Pas pour chercher la bagarre ou quoi que ce soit - juste pour signifier qu'il n'est pas d'accord. C'est assez contradictoire avec son incapacité à faire connaître ses sentiments ou ses désirs, mais il considère que les choses le concernant lui n'ont pas à être partagées, contrairement à ce qui concerne d'autres personnes. S'il blesse les gens, il ne le fait sûrement pas intentionnellement, parfois même il ne s'en rend pas compte. Même s'il arrive parfois qu'il se laisse complètement aller. Si du côté affectif il a de grandes difficultés à se faire comprendre, quand il a quelqu'un dans le collimateur, il n'aura sûrement pas peur de le lui dire et de lui chercher des noises à coup de remarques moqueuses. C'est toujours plus facile de détester quelqu'un que de l'aimer. Malgré tout ça, Ming est une personne très prévenante qui fait tout pour les autres ; il ne fait quasiment rien pour lui-même et préfère tout mettre en oeuvre pour les rares personnes lui étant proches. Ses nombreuses années à protéger sa petite sœur lui ont appris à se montrer doux et protecteur envers les autres. Lorsqu'il estime qu'ils en valent la peine, bien évidemment.
When I was... when U were...
« Janvier 1991. Le mois de ma naissance, celui où j'ai débarqué sur cette planète. Second enfant de la famille après un grand frère encore jeune mais pourtant très agité, j'ai vite été considéré comme le petit garçon calme de la famille. Mais tout ça, ça n'a pas duré. J'avais à peine deux ans et demis quand on m'a gratifié d'une petite sœur. Juste après sa naissance, nos parents ont disparu, et notre grand-mère nous a pris sous son aile, tous les trois. Pour l'enfant que j'étais, la situation m'échappait complètement, je ne me rendais pas vraiment compte de la chose. J'ai vécu jusqu'à l'âge de six ans sereinement. Ces six années ont sûrement été les meilleures de ma vie. Un jour, ma petite sœur est tombée malade. J'ai toujours été du genre protecteur envers elle, alors j'ai commencé à paniquer, quand bien même grand-mère me disait de me calmer et qu'elle allait s'occuper de Mei. La journée a passé sans que je ne vois ni Mei ni ma grand-mère. Et le soir, mon petit monde parfait s'est écroulé. Grand-mère hurlait, Mei pleurait, je ne comprenais rien, et mon frère ne m'était d'aucun recours. C'est à ce moment-là que j'ai appris l'existence de cette race qui allait pourrir mon existence jusqu'à la moelle. Les Twaos. Essayez de comprendre cette histoire d'équilibre d'énergies entre deux personnes quand vous avez six ans, que votre sœur chérie est en train de pleurer toutes les larmes de son corps et que la personne qui vous explique ça est en train de hurler en crachant des injures à l'intention de ladite sœur. La descente aux enfers de toute notre famille a commencé à partir de là. Moi qui étais un enfant réservé mais toujours souriant, j'ai fini par arrêté de sourire de bon cœur en voyant des êtres que j'aimais se déchirer. Mei, ma petite Mei est devenue un véritable bouc-émissaire, et pour grand-mère, et pour notre frère. Comment peut-on infliger ça à une enfant de quatre ans !? Armé de mon courage et de mon désespoir, je me suis auto-proclamé bouclier. La seule chose qui m'importait, c'était de protéger ma sœur. Tous les matins, j'avais peur de partir à l'école et de la laisser entre les mains des autres ; je revenais en courant tous les soirs pour m'assurer qu'elle était encore en vie et que personne ne lui avait fait du mal. Je la cachais derrière moi quand je voyais les coups partir, et prenais tout à sa place. J'ai un bon nombre de marques sur tout le corps laissés par les blessures que j'ai prises pour elle, dont personne n'est au courant, pas même Mei. Je suppose que je n'ai pas su grandir comme une personne normale. Mais j'aime penser que grâce à moi, Mei a pu vivre à peu près normalement. Elle est restée souriante, est allée à l'école, s'est faite des amis ; moi je restais constamment sur mes gardes, séchais les cours et empêchais quiconque de s'approcher de trop près d'elle. Il n'y a que quand elle allait mal que je me déridais. Je la prenais souvent dans ma chambre le soir, l'installais sur mes genoux devant mon bureau et lui donnais des crayons et des feuilles. J'aime la voir dessiner, se perdre dans son imagination et voir ses mains courir sur le papier. Ces moments étaient les seuls durant lesquels je m'autorisais à arrêter de surveiller tout ce qui m'entourait - j'étais devenu un enfant quasiment paranoïaque. Mon enfance entière a été destinée à Mei. Quand je sentais le ton monter, je l'envoyais à l'étage et je me prenais les coups à sa place, sans broncher. La seule chose qui m'a permit de tenir sans devenir complètement cinglé, et la seule chose que je faisais pour moi uniquement, ce sont mes études d'arts martiaux. Je suppose que c'est l'une des raisons qui fait que maintenant, je fais si peur aux gens qui m'entourent ; j'ai tiré des arts martiaux une certaine confiance en moi que je fais transparaître en permanence. Pour éviter qu'on m'approche, et pour dissuader aussi les gens qui s'approchent de Mei avec de mauvaises intentions. Quand j'ai terminé mes années d'études - à la fin du lycée, j'ai pris un travail, le premier qu'on m'a présenté, parce que je voulais au plus vite gagner assez d'argent pour pouvoir sortir Mei de ce foyer où, disons le clairement, elle n'était visiblement pas la bienvenue. Ce premier emploi, c'était un bête poste de vendeur dans une boutique de fringues un peu miteuse de notre quartier. Mais là-bas, lorsqu'il n'y avait pas beaucoup de clients - ce qui était une chose assez courante, la gérante a commencé à s'amuser à me faire enfiler des vêtements par dizaines, en ne cessant de répéter qu'avec la stature que j'avais, je devrais être mannequin. Disons que sur le coup, j'ai vraiment été surpris ; toute ma vie, je l'avais consacrée à ma petite sœur, sans franchement penser à moi. Et tout d'un coup, une vieille femme me dit que moi, qui n'avais strictement rien accompli de grandiose dans toute mon existence, je pourrais être mannequin. Je n'avais que dix-huit ans à l'époque, et peu importe combien j'étais indifférent au monde extérieur, je dois avouer que cette idée m'a beaucoup remué. Je n'y avais jamais réfléchit, mais il est vrai que j'avais toujours eu un goût assez prononcé pour la mode. Le temps est passé et je prenais vraiment goût à ma formation "à la dure" de mannequin, la gérante ayant vite compris que j'aimais beaucoup l'idée de devenir mannequin, et m'utilisant même pour représenter sa boutique. Jusqu'au jour où elle m'a dit que si je le désirais, elle était prête à me présenter à des connaissances travaillant dans le monde de la mode. Dire que j'étais fou de joie ce jour-là serait encore trop faible : pour une fois, j'étais heureux, j'avais envie de faire quelque chose et la possibilité d'accomplir ladite chose. Je suis rentré à la maison, prêt à annoncer la grande nouvelle à tout le monde, et surtout à Mei - Mei qui s'inquiétait que je passe ma vie à m'occuper d'elle. Sauf qu'elle est arrivée en me disant qu'elle voulait partir, pour trouver son âme sœur. J'en suis resté bouche-bée. J'aurais pu rester et accomplir mon rêve. J'aurais pu. Mais si ça signifiait abandonner ma soeur dans un grand pays qu'elle ne connaissait pas, il était absolument hors de question que je suive mon rêve. Je préférerais mourir que de la laisser partir sans moi, dans un endroit où n'importe qui pourrait lui faire du mal. Même si elle y va pour trouver sa moitié, quelqu'un qui tôt ou tard prendra ma place à ses côtés - je m'en fiche. Sans rien lui dire à propos de ce que la gérante m'avait proposé, j'ai sourit en lui disant que, forcément, je venais avec elle, et qu'elle n'arriverait pas à se débarrasser de moi juste en changeant de pays. Alors on est partis. Au beau milieu de la nuit, comme des voleurs, avec le strict minimum et mes économies. Durant un an, on a été baladés à travers la Chine, sans vraiment savoir comment aller à Séoul, l'objectif de Mei. Le peu d'argent qu'on avait, c'était pour la nourriture et les nécessités. Et puis, après une bonne année, on a fini par arriver à Séoul. Nouveau pays, nouvelle langue, nouvelle culture, personne qui nous connaît. Est-ce qu'on va vraiment y arriver ? Peut-être qu'ici, j'arriverais à réaliser le seul rêve que j'ai jamais eu. Mais à côté, j'ai aussi peur que Mei trouve un jour chaussure à son pied et me laisse derrière elle ; elle est la seule personne importante à mes yeux, l'une des seules choses qui comptent pour moi. J'ai vraiment peur. »
Derrière l'écran, je suis Mizu, j'ai 20 ans, et je fais du RP depuis neuf ans /ne dites rien/. Je suis ici grâce à Kanae qui m'a foutu Ming sous le nez de façon plus ou moins indirecte, et je souhaite passer par ici environ 7/7 jours. Ah oui, j'oubliais ! Le code du règlement c'est : «Validé par Ahn Ryu Jeong ».
Test RP:
Il y a des jours où Ming se demandait sérieusement si cela valait le coup de sortir de son lit. Surtout considérant qu'il n'avait aujourd'hui pas à se rendre dans l'agence de mannequinat pour laquelle il travaillait. Si encore il était employé là-bas en tant que mannequin, il n'aurait strictement aucun problème à se lever le matin, mais le fait qu'il passe sa vie à courir d'un étage à l'autre avec des montagnes de photocopies dans les bras en indiquant vaguement aux nouvelles recrues l'endroit où elles devaient poser leurs fesses en attendant qu'on vienne leur tirer le portrait ne le motivait pas franchement à émerger lorsque son réveil sonnait. Mais aujourd'hui, il avait été levé aux aurores, contre son gré, parce que sa sœur partait à l'université et avait malencontreusement claquer la porte de leur appartement bien comme il faut lorsqu'elle était sortie. Le bruit avait tiré Ming de son sommeil très brusquement. Et si Ming détestait beaucoup de choses en ce bas-monde, les réveils brutaux arrivaient classés en bonne position. Le jeune chinois avait donc décidé de se lever, se sachant pertinemment incapable de se rendormir maintenant qu'il avait ouvert les yeux. La journée allait être longue. Et il allait la passer seul. Comme d'habitude depuis qu'il était arrivé à Séoul. Pas qu'il eut beaucoup plus de compagnie lorsqu'il vivait encore à Wuhan, mais au moins lorsqu'il n'avait rien à faire, il pouvait se rendre à la boutique faire des heures supplémentaires. Ici, dans cette grande ville, il n'avait aucun repère. Un profond soupir passa ses lèvres alors qu'il s'asseyait dans son lit, ébouriffant sa tignasse brune avant d'écarter ses draps d'un grand geste et de se lever. Li Ming avait sa petite routine le matin. Il se levait, passait vingt minutes à faire de l'exercice, prenait sa douche et allait manger. Puisqu'aujourd'hui il n'était pas pressé par le temps, il décida de traîner son corps à demi-nu dans ce qui servait de salon à l'appartement qu'il partageait avec sa chère petite sœur et de s'affaler devant la télévision. Il n'était pas dans ses habitudes de lézarder de la sorte, mais le jeune homme sentait qu'aujourd'hui, il n'aurait de motivation pour rien.
C'est donc après une heure et demie à s'abrutir devant le poste de télévision que Ming prit la décision de sortir. Sinon il allait réellement passer toute sa journée affalé à ne rien faire, et il avait absolument horreur de ne rien faire de productif dans la journée. Il était de ce genre de personnes ayant besoin de s'occuper pour se sentir vivre .. Même s'il avait perdu tout goût pour la vie depuis longtemps. Après une douche rapide, il enfila un slim noir et un simple T-shirt blanc avant de lancer le minimum vital de ses affaires dans son sac à dos, et finit par sortir en claquant – à son tour – la porte, puisqu'il n'y avait plus personne à réveiller, ce n'était pas dramatique. Dévalant rapidement les escaliers pour sortir de l'immeuble – les ascenseurs ? c'est seulement pour les gens qui n'ont pas un corps à entretenir – Ming finit par arriver dehors, juste devant le bâtiment où il logeait. Chaussant ses lunettes de soleil sur son nez par pure habitude, il se dirigea à grands pas vers le café le plus proche. Même si on était samedi, il doutait fortement que l'établissement soit plein à peine à dix heures du matin. Considérant qu'il n'avait strictement aucune envie de devoir faire avec une foule de pré-adolescentes armées de leurs téléphones portables pour photographier leurs boissons, il prit la précaution de regarder à travers les vitres, poussant un discret soupir de soulagement en voyant qu'à peine quatre ou cinq personnes étaient installées dans le café. Pénétrant dans l'établissement, il passa rapidement sa commande – un chocolat viennois, il n'y pouvait rien, il adorait tout ce qui était sucré et ce chocolat en faisait partie – avant d'aller s'installer tranquillement dans un coin. Là où personne ne viendrait l'embêter. Il posa sa boisson sur la table avant de s'asseoir, posant son sac sur la chaise à côté de lui – on n'est jamais trop sûr, des fois que quelqu'un voudrait se mettre là. Sirotant sa boisson, Ming se perdit alors dans ses pensées. De sa nouvelle vie à Séoul, de sa sœur qui s'épanouissait de jour en jour .. Et lui, qui stagnait derrière, sans savoir quoi faire de sa vie. La seule opportunité qu'il avait un jour eut de faire quelque chose de grand, il l'avait tout de suite oubliée pour suivre Mei en Corée. Il n'avait jamais regretté ce choix, mais parfois, il se demandait ce qui se serait passé s'il était resté là-bas et avait saisit cette chance de devenir mannequin. Qu'est-ce qu'il se serait passé s'il avait réussi, qu'il était devenu quelqu'un, quelqu'un de digne et d'entier, et non pas l'ombre d'un homme ayant grandit trop vite .. Perdu dans ses pensées lugubres, son regard fixé dans le vide en face de lui, Ming traça du bout des doigts une des nombreuses cicatrices ornant son corps sur son avant-bras – l'une des dernières qu'il avait reçues à la place de sa sœur avant de fuir. Le jeune chinois était tellement perdu au milieu de ses souvenirs qu'il en oubliait presque l'endroit où il se trouvait, et le fait que des regards pouvaient se poser sur lui à n'importe quel instant. Et voir son visage vide et fatigué de la vie.
Tu peux aussi demander à avoir une maison ou un appartement sur ce topic. Tu trouveras des codes utiles pour tes RPs ici, et n'hésite pas à aller relire les annexes. En cas de question, viens la poser ici, et en cas d'absence, signale-le ici.
Si tu es Twao, la Liste des Twaos t'es ouverte, et recense-toi !
Un dernier mot ?
Bravo ma senpaaaai! J'adore Ming, voilà. *tombe amoureuse* Je savais que tu en ferais quelque chose de vraiment bien, et je suis pas déçue ;o; Je ne vois rien à redire, présentation parfaite et validée! *très attendue xD* Amuse-toi bien parmi nous, et prend soin de ton Ming :3