Sujet: karel : gonna break your heart. Mer 7 Aoû - 15:15
Park Karel
Eh salut vous ! Mon avatar, c'est JAng Wooyoung. Mais ici, appelez-moi Park Karel. J'ai 22 ans, donc si tu sais compter j'suis né(e) en 1991, mais plus précisément le 12 février. Pour les curieux, je suis célibataire/pansexuel et je suis étudiant en psychologie. Je fais partie du groupe denial. Ah, eh puis mon but dans la vie c'est de mourir jeune ! Et mes petits mots favoris sont: « SI JAMAIS J'AI BESOIN D'UNE TRANSPLANTATION DE CERVEAU, JE CHOSIRAIS UN SPORTIF CAR JE VEUX UN CERVEAU QUI N'A JAMAIS SERVI. ».
Et toi, là ! oui, toi ! :
Inutile de dire à Karel qu’il est beau gosse, ça, il s’en fout. Il se contenterait de vous répondre qu’il a deux bras, deux jambes et une tête et que cela lui suffit pour vivre. Ce qui n’est pas totalement faux. Karel est grand - origines hollandaises aidant - et mince, mais il lui arrive d’être morbidement maigre durant ses mauvaises périodes. Dans les faits, c’est un chanceux : il ne prend absolument pas soin de lui mais est plutôt belle gueule naturellement. Voyez comment il s’habille le matin ! Quelques fringues piquées au hasard dans un tiroir désordonné, boutons souvent mal crochés et chaussettes dépareillées… oh, non, Karel n’est aucunement axé sur l’apparence et se fiche bien d’avoir l’air de s’être vêtu d’un sac poubelle. Il ne se coiffe pas, ne passe pas une demi-heure dans la salle de bain et exècre les mecs qui se chouchoutent autant que les gonzesses. À part ça, pour parler de son allure générale, il est nonchalant : démarche pressée, toujours une clope au bec et une bière à la main, parfois mal rasé et pas du genre à se faire remarquer. En le voyant, vous verriez tout de suite l’alcoolique qui se cache en lui.
Parce que je suis ainsi fait(e) :
Karel, c’est ce pote peu bavard mais charismatique qu’on a tous dans notre entourage. Il faut être assez intéressant à son goût pour espérer se rapprocher de lui car il déteste les conversations ennuyeuses et les gens stupides. Assez calme, renfermé, il ne parle pas trop de lui, considérant que ses affaires ne regardent personne - et que les affaires des autres n’ont rien à voir avec lui. Ainsi, il faudra être vraiment très proche de lui pour qu’il s’investisse dans une amitié et savoir supporter son indifférence occasionnelle, qui n’est pas du snobisme mais qui fait entièrement partie de sa personnalité. En somme, pour fréquenter Karel, mieux vaut être assez souple car il ne fera aucun effort pour vous plaire, à moins de vous trouver un intérêt tout particulier… ce qui ne vous sera pas forcément bénéfique. Oui, car Karel est le champion des obsessions : obsédé de littérature malsaine, obsédé par l’alcool dans lequel il se plonge sans relâche, obsédé par l’idée de mourir le plus jeune possible afin d’éviter d’avoir à subir ce monde insensé qu’est le nôtre plus longtemps, obsédé par l’idée d’être Twao. Voilà quelque chose de fondamental chez notre jeune protagoniste : c’est un éternel insatisfait de l’univers. Trop de guerres, trop de cons, trop de questions sans réponses. Pas assez de liberté. Avoir une âme sœur, par exemple, le met mal-à-l’aise. Comment se peut-il que, quelque part, une personne soit censée l’être ? Et s’il la rencontre, que se passera-t-il ? Ils se tomberont romantiquement dans les bras et auront beaucoup d’enfants ? Non, trop peu pour lui. L’époque des liaisons spirituelles et forcées étant passées, Karel est totalement révolté par tout ça : déjà peut enclin à aimer, comment accepter d’aimer quelqu’un sans en avoir le choix ? Tout ça n’est pas éthique. Car Karel est très intelligent, peut-être même un peu trop pour son bien : il réfléchit énormément, pose les bases de ses réflexions sur le papier simplement pour que ses idées ne disparaissent pas comme de la vulgaire fumée. Mais dans le fond, une fois que vous aurez creusé un peu la surface, vous trouverez juste un jeune gars perdu et solitaire qui se conduit comme un malpropre par protection : après tout, les gens sont trop cons pour le comprendre. La musique l’aide à s’évader - il est capable de jouer de nombreux instruments divers et variés - tout comme l’écriture. Ses silences et son absence de joie peut déstabiliser, mais s’il ne s’adonne pas facilement aux blagues ou au sourires, sachez qu’il ne vous coulera jamais intentionnellement : disons simplement qu’il ne vous aidera probablement pas à régler vos emmerdes, mais au moins, il ne tentera rien pour les faire empirer même s’il vous déteste. Son désintérêt n’est néanmoins pas total si on parvient à viser son ego au bon endroit…
C'est ma vie :
Un beau bébé de quatre kilos à la naissance. Un prénom : Karel, soit la version néerlandaise de Charles, un petit coup d‘originalité suite aux supplications de madame. Un papa sud-coréen ayant voyagé un peu partout dans le monde pour affaires, une maman des Pays-Bas rencontrée lors d’un séjour à Amsterdam et bim ! Le mariage, le rapatriement en Corée, le premier rejeton (oui, car deux autres suivirent par la suite !). La mère de Karel, encore très proche de ses racines, tenait à les transmettre à ses enfants : par leurs prénoms typiquement originaires de sa nation natale, mais aussi par exemple, en leur faisant boire du lait et manger hollandais. Particulier, en Corée. D’un autre côté, leur père, assez absent, passait peu de temps avec les enfants mais était affectueux et amusant. Sa famille était une famille ouverte et qui voyageait beaucoup, aussi peut-on dire que les enfants Park eurent droit à de nombreuses cultures, dont la culture coréenne traditionnelle, néerlandaise, ainsi que d’un flux de connaissances rapportée d’un peu partout. C’est sous ce scénario que Karel a pointé le bout de son nez dans ce monde. Le Twao le plus proche, dans son arbre généalogique, étant sa grand-mère paternelle, on peut dire que le petit Karel a eu de la chance : son père se savait porteur du gêne, et dés les premiers symptômes - soit des hurlements stridents de la part du petit qui ne cessaient plus - de ce qu’il appellera plus tard sa « maladie incurable », il l’emmena à Busan voir sa mamie qui mit les choses au clair et évita la grosse catastrophe. On peut dire que la maman était surprise : jamais elle n’avait entendu parler des Twao et elle eut beaucoup de peine à comprendre le concept, qui s’apparentait plus à des relations forcées qu’à une histoire de code génétique à ses yeux. Pour elle, c’était comme obliger son fils encore bambin à se marier. Jusqu’à ses dix ou onze ans, Karel ne voyait pas tant le problème de tout ça : c’était un enfant bon vivant et positif, qui s’occupait de ses deux cadets avec soin et à qui il était difficile de reprocher quoi que ce soit. Le hasard l’ayant fait donneur, il se « déchargeait » avec la gamine d’une amie de la famille - ou un truc comme ça - de son âge qui, elle, était une receveuse. C’était bizarre, mais suite à plusieurs malaises, il comprenait bien qu’il avait pas le choix. C’était ça ou crever. Donc, jusqu’à, disons… jusqu’à ses quinze ans, il vivait sa particularité assez bien. Il avait de bonnes notes, des copains et faisait du sport. Et puis, il commença à lire. À se cultiver. Bien vite, il se rendit compte qu’on ne parlait des Twao dans aucun livre. Qu’ils étaient inconnus du monde, certainement parce qu’ils étaient différents. Or, ça, c’était un sacré coup de poing pour le jeune adolescent qu’il était. Il réalisa qu’il n’était pas né comme ses petits camarades et il s’imagina que sa vie ne pourrait jamais être semblable à la leur : il serait toujours dépendant. Dépendant de quelqu’un, qu’il ne pourrait pas tout faire comme il le désirait puisqu’il avait besoin de transmettre son surplus d’énergie au risque de mourir. Karel se sentait exactement comme un rongeur de compagnie : si personne ne lui donnait à manger, il trépassait. Et là, la question explosa dans son esprit : pourquoi moi ? C’était basique, mais ça faisait son petit effet. En parallèle, il ne pouvait s’empêcher de se dire qu’embrasser cette amie de la famille depuis tout petit était vachement connoté. Pour ainsi dire, il suivait un peu le raisonnement de sa mère : c’était pas normal, tout ça. Maintenant qu’il avait quinze ans, il sentait que tout cela n’était pas aussi innocent que ça en avait l’air. Puis, près d’une année après le commencement de tous ses doutes, alors qu’il était au salon avec la jeune fille, celle-ci lui avoua qu’elle l’aimait. Quelle bonne blague. Ce n’était pas de l’amour, c’était de l’affection conditionnée par leur relation totalement malsaine et ambigüe : lui ne l’aimait pas. Tout au plus, ce qu’ils faisaient l’émoustillait, ou l’excitait, difficile à dire, mais en aucun cas il ne ressentait d’amour pour elle. Toujours est-il qu’il la repoussa, un peu violemment : il se fâcha, jeta sur elle tout ce qui lui passait sous la main en hurlant qu’il ne voulait plus jamais la voir. Ses parents le corrigèrent sévèrement. Suite à cela, il passa sa dernière année de lycée en internat, puis revint au domicile familial pour poursuivre ses études. Ses parents ne pouvaient se résoudre à le garder éloigné d’eux plus longtemps, ils étaient trop gentils et altruistes. Si Karel ne se montrait pas du tout affectueux avec eux, il se montrait néanmoins poli et respectueux envers eux : ce n’était pas contre eux qu’il nourrissait de la haine, il ne pouvait accuser son père de lui avoir transmit le Twao. Pour sa plus grande satisfaction, il n’entendit plus jamais parler de sa partenaire et c’est tant mieux. Mais toute cette histoire avait élargit la brèche en lui : il n’aimait plus personne, restait indifférent à son propre être et avait commencé à boire, à se droguer, plus rarement, en espérant oublier qu’il était malheureux. Depuis ce jour, Karel n’a pas vraiment de partenaire attitré : il essaie de repousser l’échéance au maximum avant d’appeler, désespéré - seule occasion où on peut le supposer sensible - et au bord de la mort, une connaissance capable de lui venir en aide. Parfois ivre même en journée, il se trimballe toujours une canette de bière et se saoule à la moindre occasion, seul ou avec des amis. Parce qu’il est triste, que le monde ne le comprend pas et qu’il ne comprend pas le monde. Parce qu’il y a un truc, là, quelque par dans son ventre, qu’il ne peut combler. Pourquoi ne pas rejoindre le club des 27, tiens ? Encore cinq ans à vivre, ça lui laisserait le temps de faire encore quelques conneries et de mourir avant d’être vieux. Parce que s’il avait de la peine à trouver un receveur à son âge, comment ferait-il d’ici une dizaine années lorsqu’il serait devenu laid et peu frais ? Et toute cette énergie dégagée dont il aurait tant voulu se passer, cette condition de victime perpétuelle - encore une fois, pourquoi lui ? - qui l’empêche d’avancer et le bloque dans son silence… ça donne envie de disparaître au plus, vite, ça. Difficile pour lui de trouver la motivation de chercher une solution. Et puis, dans le fond, Karel n’a pas envie de s’en dégotter une : quelque part, il se complait dans sa solitude, il pense s’accorder avec son côté artiste torturé. Être Twao, être axé sur la bouteille, tenter de gérer ça tout en étudiant - la psychologie, parce qu’il aime comprendre les gens - et en contentant papa-maman à coup de gros mensonges ne simplifie pas la vie de Karel. Par ailleurs, son caractère peu avenant et son manque d’intérêt pour les autres et les actes de sympathie ne l’aident pas vraiment à trouver des receveurs d’accord de partager quelques baisers furtifs avec lui. Mais loin de lui l’intention d’aller se plaindre à qui que ce soit, après tout, ce sont ses emmerdes et elles n’intéressent personne.
Derrière l'écran, je suis Aster, j'ai 17 ans, et je fais du RP depuis cinq ans. Je suis ici grâce à UN TOP-SITE, et je souhaite passer par ici environ 5/7 jours. Ah oui, j'oubliais ! Le code du règlement c'est : «Validé par Hwannie».
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Dernière édition par Park Karel le Mer 7 Aoû - 18:54, édité 12 fois
Sujet: Re: karel : gonna break your heart. Mer 7 Aoû - 17:16
Ce serait bien que tu étoffes un peu, surtout au niveau de l'histoire. Tout s'enchaîne trop vite et on ne comprend pas vraiment chaque étape de sa vie. Pourquoi lui avoir donné un nom hollandais ? C'est très rare les noms mixtes, et à moins d'une raison bien valable et importante, j'aimerais éviter de voir les membres aux noms mixtes se multiplier ^^ Développe son enfance, la réaction de sa famille face à sa nature par exemple. Et qu'est-ce qui l'a changé ? La crise d'ado me semble un peu léger comme prétexte. La mort de sa grand-mère qui n'a pas pu charger à temps par exemple ? Aussi, tu n'as pas préciser pourquoi il souhaitait tant mourir jeune. Pourquoi ne s'est-il pas suicidé ou n'a-t-il pas arrêté de se charger s'il veut tant mourir ? Et avec l'alcool, pourquoi pas le tabac ou la drogue ? Y a-t-il quelque chose de spécial avec l'alcool ? Aussi, comment se passent ses relations avec sa famille maintenant ?
Voilà, si tu pouvais éclaircir au moins ces points, pas forcément avec un pavé mais en quelques lignes assez claires, ce serait super :)
« Invité »Invité
Sujet: Re: karel : gonna break your heart. Mer 7 Aoû - 17:20
hahaha je le savais. j'aime pas trop la partie histoire alors c'est toujours bâclé. (x pour le nom hollandais, c'est parce que la maman est hollandaise, mais je peux approfondir.
bref, je vais faire ça, c'est assez vrai que c'est pas du tout étoffé. je me suis inspirée d'un ami (glauque je sais. XD) du coup ce qui me parait logique l'est pas forcément d'un point de vue extérieur...
Sujet: Re: karel : gonna break your heart. Mer 7 Aoû - 17:24
Oui j'avais compris pour le nom, mais il faut prendre en compte que les coréens ne sont pas du genre à laisser une femme donner un nom étranger à son enfant... Surtout qu'en théorie, c'est la grand-mère paternelle qui nomme le bébé. Donc sauf si le père est très ouvert d'esprit... Sinon ça pourrait être son second nom et il l'utilise en nom principal parce qu'il le préfère ?
Pense aussi à expliquer pourquoi il est Denial maintenant et son point de vue sur l'âme soeur :)
Messages : 319 « Hwang Min Jae »NOUVEAU ☆ En attente
Sujet: Re: karel : gonna break your heart. Mer 7 Aoû - 17:32
Un demi-néerlandais *O* <3 Pourquoi avoir choisi les Pays-Bas ?
BREF
Bienvenue \o/ Et bon courage pour les reprises sur ta fiche ;)
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Sujet: Re: karel : gonna break your heart. Mer 7 Aoû - 17:47
BIENVENUE ♥♥♥.
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Sujet: Re: karel : gonna break your heart. Mer 7 Aoû - 17:51
minhwan: j'y travaille, j'y travaille. '-' pour le nom, j'y plus ou moins dit ce que tu proposais, soit que la famille est ouverte d'esprit... parce que je vois pas d'autre moyen. XD enfin. je savais pas que les coréens pouvaient se montrer si peu ouvert pour les prénoms. j'ai des origines asiatiques et certains membres de ma familles ont des noms non-asiatiques et ça n'a jamais choqué personne. O.O mais en tout cas merci pour ton aide, au final ça me plait de faire des précisions, je rajoute plein de trucs. ♥
minjae: merci de m'accueillir. ♥ pourquoi les pays-bas ? je sais pas, la plupart des persos métissés en rpg son américains ou anglais, je voulais faire original... et j'ai plus ou moins imaginé que le choc corée (soju) + pays-bas (herbe) ça pouvait faire un bon alcoolo déglingué... *MASTA CLICHÉ*
Messages : 319 « Hwang Min Jae »NOUVEAU ☆ En attente
Sujet: Re: karel : gonna break your heart. Mer 7 Aoû - 17:53
Park Karel a écrit:
minjae: merci de m'accueillir. ♥ pourquoi les pays-bas ? je sais pas, la plupart des persos métissés en rpg son américains ou anglais, je voulais faire original... et j'ai plus ou moins imaginé que le choc corée (soju) + pays-bas (herbe) ça pouvait faire un bon alcoolo déglingué... *MASTA CLICHÉ*
Toujours ce cliché T_________________T /a vécu aux Pays-Bas et est folle amoureuse de ce pays.
« Invité »Invité
Sujet: Re: karel : gonna break your heart. Mer 7 Aoû - 18:55
cette fois, je pense que c'est bon ! j'ai surtout travaillé l'histoire - c'est un pâté du coup - et ai essayé de repréciser tout ce qu'il fallait. ♥
Sujet: Re: karel : gonna break your heart. Mer 7 Aoû - 19:40
Donc il meurt pas de suite parce qu'il veut attendre ses 27 ans ?
« Invité »Invité
Sujet: Re: karel : gonna break your heart. Mer 7 Aoû - 19:43
nan mais il a pas "décidé" de se suicider, il y pense. XD donc c'est plutôt une obsession - un fantasme - parce qu'il est fan de musique, qu'il est un peu fou et qu'il y a de nombreux artistes de rock qui sont mort à 27 ans... si ça se trouve il le fera pas vraiment.
« Invité »Invité
Sujet: Re: karel : gonna break your heart. Mer 7 Aoû - 20:21
Bienvenue à toi Karel ♥ J'espère que tu t'amuseras bien parmi nous! Je laisse Min' te valider, il est bien parti eheh ~
Sujet: Re: karel : gonna break your heart. Mer 7 Aoû - 20:45
Bienvenue parmi nous !
Bravo ! Tu es validé(e) !
Tu dois maintenant aller poster une fiche de liens et une fiche de topics ! Tu peux aussi demander à avoir une maison ou un appartement sur ce topic. Les codes pour téléphone sont disponibles ici.
Pour toute question ou suggestion, tu peux te rendre ici ! N'oublie pas de nous signaler tes absences lorsque tu t'en vas !
La partie détente t'est ouverte ! Et si tu as une petite création à partager, ne te dérange pas, cette partie t'est accessible également !
Un dernier mot ?
Un personnage bien torturé donc ! En espérant qu'il trouvera ici des personnes qui sauront lui redonner goût à la vie :) Amuse-toi bien parmi nous Karel ^^
Sujet: Re: karel : gonna break your heart. Sam 10 Aoû - 7:48
Bienvenue en retard sur HF (: je te mets sur ma liste de fiches à lire dès mon retour XD *squatte le PC de Min uu*
« Invité »Invité
Sujet: Re: karel : gonna break your heart. Mar 13 Aoû - 15:19
Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !! Wooyoung ! J'arrive après la guerre, mais bienvenue à toi ! <3 Bon choix d'avatar et au plaisir de te croiser sur le forum !