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 Erin Lawford.

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MessageSujet: Erin Lawford.   Erin Lawford. EmptyLun 2 Sep - 21:47



Erin Lawford


Eh salut vous ! Mon avatar, c'est Emilia Clarke. Mais ici, appelez-moi Erin Lawford. J'ai 18 ans, donc si tu sais compter j'suis né(e) en 1994, mais plus précisément le 6 Juin. Pour les curieux, je suis célibataire et hétéro et je bosse dans l'architecture et le design. Je fais partie du groupe Denial. Ah, eh puis mon but dans la vie c'est d'être libre ! Et mes petits mots favoris sont: « I will take what is mine ».
Et toi, là ! oui, toi ! :
Mes parents me nommèrent Erin, qui signifie Ireland. Mon père aimait beaucoup ce nom utilisé dans les poèmes gaéliques, qui faisait aussi référence à nos origines. Du territoire Irlandais, je n’ai hérité que les yeux bleu-vert, ainsi que la pâleur de ma peau. En effet, j’ai la musculature et l’ossature délicate de ma mère, allant de paire avec une taille plutôt moyenne. Mes cheveux ne sont pas roux, mais plutôt d’un brun aux reflets fauves, qui s’éclaircit au soleil et mets en valeur mon teint d’albâtre.

De manière plus précise, mes yeux sont verts aux reflets bleus sur les extrémités. Ils sont plutôt grands et effilés sur les pointes. L’arrête de mon nez est assez large, avec une légère courbe qui accentue mes yeux. Mes lèvres, quant à elle, ont une belle couleur chaire, et ont une forme pulpeuse, qui me donne comme une mine boudeuse ou innocente.
Je suis fine, de taille moyenne. Ni trop grande, ni trop petite. Ce qui me permet de varier mon style vestimentaire. Tantôt chaussures plates et vêtements cools et confortables ; tantôt talons hauts et vêtement dégoulinants de chic. Je n’aime pas la régularité, je préfère de loin le changement. Parfois, je me demande si cela vient de mon état de Donneur. Mon style change selon mes envies et mes activités. Je ne sais pas me tenir à une voie en particulier.

Mes oreilles sont percées, et comme mes vêtements, j’aime à varier le choix de mes boucles d’oreilles. Des longues, des courtes, des discrètes. Des colorées et des classiques. J’aime aussi mettre du vernis. Coloré en été et printemps, plus froid en hiver et automne. En général, j’aime beaucoup personnaliser mon apparence. Ce qui inclut également le maquillage. Qui peut aller du simple trait de crayon, aux myriades de couleur au-dessus de mes paupières.

On m’a souvent dit que j’étais quelqu’un d’agile. Quelqu’un possédant de bons réflexes, une bonne santé, se déplaçant rapidement et se tenant toujours de manière aisée, comme si j’étais aussi légère qu’une plume. Là aussi, je me suis demandé si mon Twao y était pour quelque chose. En général, je ne possède pas une démarche conquérante. Je suis plutôt du genre à passer inaperçue, à faire mon petit bonhomme de chemin pour arriver à mon but. Car, j’arrive toujours à mon but.

Parce que je suis ainsi fait(e) :
Voici donc le moment venu d’être honnête à mon sujet. Personne ne me dira que j’ai eu une vie facile et pleine de charmes, mais je sais aussi qu’il y a bien pire en ce bas monde. Je me vois comme une survivante. J’ai survécu à la mort de mes parents, à mon abandon et à un oncle pédophile. Et, je compte bien survivre à cette vie de Twao. Je ne laisserai pas cette chose dicter ma vie, jamais. Je suis avant tout quelqu’un de libre, qui tient à avoir son mot à dire dans son existence. Mon âme sœur ? Je ne courrais pas après, ce n’est vraiment pas dans mes priorités. J’ai appris à combler la solitude et elle ne me tuera pas de sitôt.

Il faut me comprendre. Les premières années de ma vie, qui auraient dû être les meilleures, ont été un véritable désastre. Je compte bien redresser le tir. Désormais, plus personne ne décidera à ma place, ne m’obligera à quoi que ce soit, encore moins ce Twao. Bien sûr, vous obtenez alors une fille plutôt butée, qui va toujours au bout de ses idées et de ses intentions, n’hésitant pas à écarter tout obstacle de son chemin. Je connais le prix des sacrifices, et je suis prête à les faire. M’éterniser sur des souvenirs, des choses précieuses… pas trop mon genre. Moi, je veux aller de l’avant.

Mais, je sais aussi écouter. Et, si je rencontre quelqu’un qui se révèle intéressant, ou très utile, il se pourrait que j’aime à le garder à portée de main. En cela, je suis fidèle. Cependant, je sais que, quand on reçoit, il faut savoir donner. C’est pour ça que je suis aussi généreuse, et loyale. Jamais je ne laisse tomber un ami. Je suis toujours là pour ceux qui comptent.

En ce qui concerne les autres… ce n’est pas tout à fait la même histoire. Je suis quelqu’un d’assez froid et calculateur. Utiliser les autres, les manipuler, je pratique assez bien. Parfois, j’en éprouve du remord. Parfois, je m’en contrefiche. J’ai appris assez vite que la vie contenait des ordures, et je sais comment m’en débarrasser. Tenez-vous le pour dit, je suis très rancunière. Si vous me marchez sur les pieds, cela vous reviendra en pleine figure.

La générosité gratuite ? Les histoires à l’eau de rose ? Ces niaiseries ne sont pas pour moi. Je vis dans la dure réalité, qui peut paraître bien grise et fade, mais qui est ce qu’elle est. Se voiler la face, chercher la gentillesse là où il n’y en a pas, ça ne sert à rien. Le monde est une jungle. Une jungle moderne, mais une jungle. Les humains sont ainsi faits, c’est chacun pour soit. Quand tout le monde veut arriver au sommet, il y en a forcément qui tombe, et croyez-moi, je ne serai pas de ceux-là.

En conclusion ? Si vous êtes réglos, on sera copains. Moquez-vous de moi, et je vous montrerai ce dont je suis capable. Ancrée dans la réalité, je ne passe pas beaucoup de temps à rêver, cela n’arrangera pas mes problèmes. Manipulatrice, je le suis, égoïste, je le suis peut-être un peu, aussi. Vive d’esprit, j’échafaude, je calcule et je magouille. Tout pour me tenir la tête hors de l’eau. Mon Twao ? Une bouffonnerie. Je supporte cette chose car elle s’est imposée à moi. Elle ne dictera pas ma vie. Ca, jamais.

Mais, je suis quand même quelqu’un de sociable. Et, il serait agréable de trouver un peu de compagnie dans cette vaste cité.

C'est ma vie :
Lorsque j’étais petite, la vie me paraissait infiniment simple et belle. Je n’avais pas de problèmes, pas de peines, pas de faiblesses. Je me sentais intouchable, entourée de paix et de joie. Je ne connaissais pas la douleur, ni le mépris. J’étais une enfant sage, loin de se douter de ce que la vie lui réservait.

Je suis née dans la grande ville de Vancouver, sur la côte Ouest du Canada. Cité cosmopolite et dynamique, ma famille s’y est fait un nom dans le domaine du marketing. Mon père possédait une entreprise florissante qui nous a rapidement permis de vivre aisément. Mon existence commençait dans l’insouciance la plus totale, et je m’épanouissais gaiement sous le regard aimant de mes parents. Je me souviens d’eux comme si c’était hier. Mon père était plus âgé que ma mère de deux ans. Ils s’étaient connus sur les bancs de l’université, et étaient rapidement devenus proches. Leur couple était source d’envie, chacun disant que leur futur se rapprocherait d’un conte de fée. S’ils avaient su …

Mon père était originaire d’Irlande et se nommait Laery Lawford. Sa famille avait émigré au Canada lors de la famine qui avait frappé leur pays, il y a de cela plus d’un siècle. Ses ancêtres ont commencé une nouvelle vie dans ces villes naissantes de l’Ouest Canadien. Par ses origines, il était un grand gaillard aux cheveux roux, avec une légère barbe ornant son menton, le tout agrémenté d’une paire d’yeux émeraude. Je me souviens de son rire chaleureux qui semblait secouer son corps entier et qui rebondissait dans les murs de notre appartement. Je me souviens qu’il consolait mes peurs, mes peines, qu’il arrivait toujours à me faire sourire dans mes moments les plus noirs.

Ma mère, quant à elle, avait vu le jour sur le sol Canadien, tout comme moi. Elle avait de longs cheveux bruns, qui avaient tendance à onduler librement, encadrant son visage d’un ovale parfait. Sa peau avait la couleur de l’albâtre et ses yeux ambrés se paraient d’or au soleil. Elle n’était pas très grande. Je me souviens des photos de leur mariage, ma mère paraissant aussi fragile que de la porcelaine dans les bras musclés de mon père.

Elle se nommait Tacha Roy. Son nom de famille lui venait de ses ancêtres Français, qui avaient colonisé le territoire du Québec, avant de se déplacer plus à l’Ouest. Je me rappelle sa voix douce et calme, qui ne criait jamais, mais qui savait se parer d’une incroyable fermeté. Travaillant avec mon père dans leur entreprise commune, elle n’avait jamais vécu dans l’ombre de ce grand homme, mais avait toujours été son égale. Ils étaient ce que j’avais de plus précieux au monde. Oui. Etaient. Mais, ce n’est pas pour tout de suite.

Dans les premières années de mon existence, je vivais donc dans cette grande ville de l’Ouest Canadien. Notre appartement était bien éclairé et non loin d’un petit port de plaisance, où j’adorais me promener sous la surveillance de ma nourrice. Celle-ci s’appelait Xia He Wan et venait de Hong-Kong. Je me souviens qu’elle souriait tout le temps et que, parfois, elle essayait de m’apprendre un peu de chinois. C’est elle qui décela les premières anomalies de mon corps.

Mes parents m’avaient toujours trouvée un peu trop dynamique, par rapport aux autres enfants de mon âge. J’étais incapable de rester assise tranquillement, à lire un livre. Je devais toujours bouger, parler, me déplacer ou me tenir occupée. L’ennui était mon plus grand ennemi. Xia en fit part à mes parents, cela la préoccupait. J’avais 3 ans et demi.

Pendant des années, mes parents ont consultèrent tous les médecins possibles, chacun ne sachant que répondre à ce soudain trop-plein d’activité qui secouait mon corps. Pendant ce même temps, Xia avait fait des recherches de son côté. Ce fut elle, qui apporta la solution à mes parents. Une de ses amies possédait une nièce, qui avait présenté les mêmes symptômes étranges. C’est en Asie, en Corée du Sud, qu’elle avait trouvé une solution.

Au départ, mes parents se montrèrent récalcitrants, refusant de croire à cette histoire de Twao, qui leur semblait sortie d’un conte à dormir debout. Cependant, mon état ne s’améliorait pas, et mon trop-plein d’énergie me faisait devenir insupportable, presque agressive. Finalement, après insistance de Xia, ils acceptèrent de me laisser aller en Corée. Ce fut Xia qui m’accompagna, mes parents ne pouvant délaisser leur travail du jour au lendemain. Pendant notre voyage, nous devînmes très complices, et je découvrais en elle une deuxième maman. J’avais dix ans, lorsque je posais le pied sur le sol Coréen pour la 1ère fois. Suivant les indications de son amie, Xia me conduisit dans un Centre Twao. Là, on me fit un transfert d’énergie, et je me sentis mieux. Comme si j’avais finalement évacué cette force qui faisait bondir mon corps.

Une semaine plus tard, je savais tout ce qu’il y avait à savoir sur les Twaos. Du haut de mes dix ans, je ne saisissais pas encore tout ce que cela impliquerait dans ma vie future. Néanmoins, ma mère me rassura, alors que Xia lui expliquait ma situation au téléphone. Deux jours plus tard, mes parents embarquaient pour un vol, afin de me rejoindre en Asie. Leur avion n’arriva jamais.

Je me souviens d’un coup de téléphone, tôt le matin. La matinée était grise, une fine pluie s’abattait sur les carreaux de l’appartement que je partageais avec Xia. Je me rappelle son expression qui s’assombrissait, au fur et à mesure que la conversation téléphonique se poursuivait. Elle avait fini par se tourner vers moi, et avait tenté de m’annoncer calmement que je ne verrai plus jamais mes parents.

Sur le coup, je crois bien l’avoir traitée de menteuse, avec toute la force et la colère dont est capable une gamine apeurée. J’ai pleuré pendant des jours entiers. Xia essayait tant bien que mal de me consoler, mais elle aussi savait que seul le temps pouvait guérir de telles blessures.

Quatre ans plus tard, nous étions installées à Séoul. Xia avait bataillé pour me garder auprès d’elle. Je me rendis compte que mes parents n’étaient pas très liés à leurs familles. Je n’avais pas de grands-parents, et mes oncles et tantes ignoraient jusqu’à mon existence. Je préférais rester avec celle qui avait été comme une mère, plutôt que de me retrouver entourée d’inconnus. Xia avait d’ailleurs insisté pour me placer dans une école bilingue, où j’y apprenais le Coréen tout en conservant mon Anglais. Celle qui était maintenant ma mère m’enseignait le Chinois, et de mon côté, j’apprenais le Français. Quelque part, j’étais fière de mes origines aussi mixées. J’avais le sentiment d’être libre, de n’appartenir à aucune terre en particulier.

Cette année de mes quatorze ans, beaucoup de choses eurent lieu. Tout d’abord, Xia rencontra quelqu’un. Un parfait gentleman Coréen du nom de Rhee Kwang-Ho. Je l’aimais assez, même si nos débuts ne furent pas faciles. Mais, très vite, il m’aida à réguler de mieux en mieux mon Twao. Il n’avait pas paru choqué de l’étrange être que j’étais, seulement intrigué. Depuis, il était une aide précieuse. J’avais donc une nouvelle famille.

Quelques mois plus tard, j’eus une expérience étonnante. Je rencontrai un jeune adolescent de mon âge. Il était très mignon, assez discret, mais nous devînmes assez proches. Un jour, il m’embrassa, timidement. Pourtant, ce fut assez pour qu’une décharge électrique parcoure tout mon corps. Je me sentais comme complétée, apaisée. A voir la tête qu’il faisait, je me suis demandée s’il n’avait pas ressenti la même chose … On ne se vit plus pendant quelques jours, trop étonnés l’un comme l’autre.

Quand j’y repense, à présent. J’aurais dû chercher à le revoir immédiatement, car l’avenir n’allait plus m’en laisser l’occasion.

Un soir, Xia reçut un appel du gouvernement Canadien. Ma tante, Cindy Roy, avait émis le désir d’obtenir ma garde, afin de me ramener dans le cercle familial. Xia eut beau batailler, invoquer toutes les raisons au monde, sa décision ne valait rien face aux liens du sang. Le lendemain, je montais dans un avion en direction de Vancouver.

Etrangement, cela ne me fit aucun bien de revoir ma ville natale. La vue des buildings et des ports ne m’était que trop familière, et ravivait de vieilles blessures. Ma nouvelle famille ne fit rien pour arranger cela.

Ma tante était une personne rigide, froide et calculatrice, si différente de ma mère, que je me demandais comment elles avaient pu être sœurs. La famille habitait une grande demeure dans les alentours du parc national du Mont-Revelstock. Pour moi, qui avait vécu depuis toujours au milieu des grandes villes, le calme de la campagne fut un choc. Ma cousine et mon cousin étaient bien plus jeunes que moi, et à leurs yeux, j’étais avant tout une nouvelle camarade de jeu. Je dois avouer qu’ils rendirent mon existence moins douloureuse.

Malgré toutes mes questions, ma tante refusa de m’expliquer son brusque changement d’avis quant à ma garde. Je ne découvris que bien plus tard, qu’il s’agissait d’un moyen pour elle d’attirer des relations. J’étais son animal de foire, une chose rare qu’elle exhibait au nez de ceux qu’elle voulait impressionner. J’avais seize ans, et je ne me sentais plus comme un être humain. J’étais un objet qu’on expose en vitrine.

Le jour de mon dix-septième anniversaire, mon oncle, Charles Becket, me fit un cadeau impressionnant : la maison élevait des chevaux, et il me fit cadeau d’un jeune cheval, né lors du dernier printemps. C’était un magnifique étalon appaloosa, à la robe aux reflets fauves et mouchetée de blanc. Je le nommais Hope, espérant que l’animal illuminerait quelques peu mes années à venir. Aidée du palefrenier, je le dressais et appris à m’en occuper, et bientôt, nous fûmes inséparables. Je m’évadais des jours entiers à cheval, dans le parc, avec pour seule compagnie la nature et le calme.

Ce fut également cette année que tout bascula. Je me rendis vite compte que l’affection que me témoignait mon oncle, dépassait la limite du … tolérable. J’avais peur, je me sentais seule. Auprès de qui aurais-je pu me confier ?

Un soir, alors que tout allait dégénérer, ma tante fit irruption dans ma chambre, giflant son mari avec violence. Ils divorcèrent, et je suivis ma tante dans son repli à Vancouver. Jusqu’à mes dix-huit ans, Cindy me tint pour responsable de la chute de sa vie. Lorsque j’eus atteint ma majorité, je la quittais pour de bon, afin de retourner à Séoul. J’avais en poche un diplôme d’architecture, quatre langues connues. J’espérais vaguement revoir Xia, mais je ne parvins pas à retrouver sa trace. Depuis, j’essaie de me relever, chaque jour, et de me construire une nouvelle vie.

Conclusion, que reste-t-il de moi, après toutes ces années ? Je me sens plus seule que jamais, perdue, sans attaches, dans une ville qui bouillonne de monde. Je porte mon Twao comme un fardeau. Cette chose qui fait de moi une « chose » bizarre, incomplète et bancale. Cette « chose » qui m’a pris ma vie, mes parents, mon futur qui s’annonçait pourtant idyllique. Je vis ma vie, sans la vivre vraiment. J’ai perdue l’envie de savourer les choses, et je me jette dans mon travail à corps perdu, pour oublier l’amertume de cette vie qui est la mienne.


Derrière l'écran, je suis Joséphine, j'ai 17 ans, bientôt 18, et je fais du RP depuis 4 ans. Je suis ici grâce à Kim Dae Huang, et je souhaite passer par ici environ 3/7 jours. Ah oui, j'oubliais ! Le code du règlement c'est : «validé par Min Hwan».

code by eylika (c)

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Messages : 1556
Jeong Min Hwan
« Jeong Min Hwan » TWAO ☆ Avoider
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MessageSujet: Re: Erin Lawford.   Erin Lawford. EmptyLun 2 Sep - 21:49

Bienvenue Erin ! Je te valide ton code, mais je suis trop morte pour lire ta fiche là, donc il te faudra attendre demain ma chérie ♥
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avatar« Invité » Invité
MessageSujet: Re: Erin Lawford.   Erin Lawford. EmptyLun 2 Sep - 21:55

Bienvenue!

Je vois que ton personnage est né à Vancouver, le mien est né dans l'Est canadien à Ottawa, je pense que ça mérite un lien - entre canadiens! En plus on a des points communs (la mort de leurs parents par exemple)
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avatar« Invité » Invité
MessageSujet: Re: Erin Lawford.   Erin Lawford. EmptyLun 2 Sep - 22:14

*H A R D fan d'Emilia* ........ Je... ;___; Je... Oh mon Dieu !

Bon euh, pardon XD bienvenue !
J'adore ta fiche ! ~ et ton ava et ta sign. (ça va, je fais pas trop fangirl là ? u_u)
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avatar« Invité » Invité
MessageSujet: Re: Erin Lawford.   Erin Lawford. EmptyLun 2 Sep - 22:19

Bienvenue !!
Joli avatar ^^
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avatar« Invité » Invité
MessageSujet: Re: Erin Lawford.   Erin Lawford. EmptyLun 2 Sep - 22:36

    Merci à tous pour votre accueil, vous êtes adorables. :w:
    Pour les liens, hésitez pas à m'envoyer des MPs, histoire qu'on puisse en discuter. :3
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Messages : 497
Eden A. Rosebury
« Eden A. Rosebury » TWAO ☆ Avoider
MessageSujet: Re: Erin Lawford.   Erin Lawford. EmptyLun 2 Sep - 22:43

Bienvenue ici ! & hop, une autre occidentale ♥
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avatar« Invité » Invité
MessageSujet: Re: Erin Lawford.   Erin Lawford. EmptyMar 3 Sep - 6:54

Bienvenue sur le forum Miss =)
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Messages : 1087
Kang Ae Woon
« Kang Ae Woon » TWAO ☆ Nymphe
Administrateur
MessageSujet: Re: Erin Lawford.   Erin Lawford. EmptyMar 3 Sep - 10:27

Eh bah Ji Hyuk tu vas trouver des liens ! ehehehehe

Je m'occupe de quelques petites choses et je te lis ! (: (à moins que Min vienne avant moi ><)
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Messages : 363
Oh Yun Ji
« Oh Yun Ji » TWAO ☆ Loner
MessageSujet: Re: Erin Lawford.   Erin Lawford. EmptyMar 3 Sep - 13:11

Ah une autre Denial :3 (tout le monde perds ses parents ici les pauvres >.<)
Ta photo de profil est magnifique en passant !
Bienvenue ici en tout cas !!
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Messages : 1087
Kang Ae Woon
« Kang Ae Woon » TWAO ☆ Nymphe
Administrateur
MessageSujet: Re: Erin Lawford.   Erin Lawford. EmptyMar 3 Sep - 14:39



Bienvenue parmi nous !


Bravo ! Tu es validée !

Tu dois maintenant aller poster une fiche de liens et une fiche de topics !
Tu peux aussi demander à avoir une maison ou un appartement sur ce topic. Les codes pour téléphone sont disponibles ici.
N'oublie pas de passer ici afin de bien comprendre le système de points du forum.

Passe aussi par ce topic pour te recenser sur la Liste des Twaos.


Pour toute question ou suggestion, tu peux te rendre ici ! N'oublie pas de nous signaler tes absences lorsque tu t'en vas !


La partie détente t'est ouverte ! Et si tu as une petite création à partager, ne te dérange pas, cette partie t'est accessible également !



Un dernier mot ?

Tu as une histoire très particulière est magnifique que j'ai adoré. Tu as aussi un personnage bien trempé, abîmé par la vie et qui m'a beaucoup touché.
Quant à la forme, aucune faute, un très joli style, je ne vois rien qui m'empêche de te valider ! Bienvenue ici, cheval sauvage ! o/

Have fun sur Hollow Fusion !


code by eylika (c)
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avatar« Invité » Invité
MessageSujet: Re: Erin Lawford.   Erin Lawford. EmptyJeu 5 Sep - 10:43

I'm back et... BIENVEEEEEEEEEENUE! o/ *en retard mais bon*
Je lirais ta fiche dès que j'aurais un peu de temps.
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MessageSujet: Re: Erin Lawford.   Erin Lawford. Empty

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