Dreams are illustrations from the book your soul is writing about you. ▬ Kim Tae Hwa. [Finish]
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Sujet: Dreams are illustrations from the book your soul is writing about you. ▬ Kim Tae Hwa. [Finish] Lun 7 Avr - 14:05
Kim Tae Hwa
feat. Kim Young Wun [KangIn]
« Seules sont perdues d’avance les batailles qu’on ne livre pas. »
Âge.27 ans Date de naissance.18 janvier 1987 Situation amoureuse. Célibataire bisexuel Activité.un club professionnel de hockey reconnu à l’échelle nationale Groupe. Patience Donneur, receveur ? Donneur But.d’être sélectionné dans l’équipe de Corée du Sud de hockey sur glace lors des compétitions internationales
Beautiful Stranger
Serai-je prétentieux en disant que je suis plaisant à regarder ? Je suis ni trop grand, ni trop petit, c’est un fait. Puis, je possède plutôt un corps proportionné, pour mon âge. Un mètre quatre-vingt pour soixante-treize kilos. Cheveux châtains foncés et courts, tantôt relevés afin que mon front soit dégagé tantôt ébouriffés, me donnant un aspect sauvage et décontracté. Une silhouette et une masse corporelle attisant la jalousie et/ou l’envie, admettez-le, la dénégation est contraire à la vertu et l’honnêteté. Bon, je ne fais pas preuve d’humilité en cet instant présent mais nombreuses de mes conquêtes m’ont déjà avoué être tombées « raide dingue » de mon regard pétillant et perçant ainsi que mon allure désinvolte. Des yeux qui vous envoient des missiles, vous ne pouvez pas y échapper. Mes proches disent parallèlement que c’est mon sourire qu’on remarque en premier sur mon visage aux traits finement tracés au pinceau, et mes petites fossettes qui se dessinent simultanément. « À la fois mignon, charmeur et sexy. »
Bien entendu, je ne suis pas autant superficiel que j’en ai l’air, j’estime judicieux l’assidu entretien de ma morphologie et cela n’est pas une mince affaire ni à prendre à la légère. Lorsque ceci est accompli, ce serait bête de ne pas s’en réjouir ni de s’en vanter, hm ? L’équilibre peut vaciller à tout moment. Et, je ne serai pas arrivé jusqu’ici si je me surestimais physiquement, dîtes-vous bien cela. En outre, je retiens l’attention visuellement parlant de par mon apparence charismatique. On m’a souvent catégorisé dans les personnes « accostables », aux premiers abords. J’ignore comment le prendre exactement. J’imagine que c’est un atout à ne pas négliger. Mon style vestimentaire représente tout un modèle pour la dernière génération, tantôt sobre, tantôt plus excentrique, mais il est rare que j’abuse de cet attrait-là. Deux derniers détails, j’ai une cicatrice au niveau de ma hanche droite parce qu'on m’a enlevé mon appendice et je porte un tatouage sur mon échine où vous pouvez lire « Actions are more prection than words ». À spéculer.
Under my skin
Mentalement parlant, que pourrai-je dire à mon propos de véridique et vérace ? Commençons par un défaut qui amplifie depuis ma naissance. Je suis très maladroit en-dehors des exercices et performances physiques, notamment lorsque il s’agit de m’exprimer sur ce que j’éprouve avec éloquence : je bafouille, balbutie, mange des mots et articule pas toujours correctement pour me faire comprendre. Rassurez-vous, je le vis bien. Vous devinez qu’écrire des poèmes et les réciter n’est pas ma tasse de thé. Second trait principal de ma personnalité, j’ai un tempérament de feu inextinguible. Un boute-en-train, si vous préférez. Mon caractère bien trempé m’a valu quelques éclairs dans les regards de mon entourage en perpétuelle évolution. Le moins que l’on puisse attester c’est que je ne tiens pas en place plus de dix secondes. Je suis extrêmement taquin, j’ai l’esprit ludique, et j’adore les défis. Mes plaisanteries peuvent accidentellement offenser mes interlocuteurs, c’est ce qui me vaut certaines réprimandes. Il n’empêche que je recommencerai dès que l’envie m’en prend. Rien ne m’arrête éternellement. Nous n’avons qu’une vie, donc profitons-en au maximum. Au cas où ma franchise mêlée à mon cynisme pique au vif certains, vous m’en verrez désolé, ce n’était pas intentionnel.
En outre, je suis quelqu’un de frugal, d’éclectique et de facile à contenter avec des choses ou idées simples en main. J’aimerai que tout soit permis. D’autre part, je ne suis pas rancunier, ni vengeur dans le but de blesser deux fois plus la personne qui a osé me piquer, néanmoins ne vous avisez pas de tenter de me manipuler. Vous risqueriez de vous faire mal tout seul. En contrepartie, beaucoup dans mon entourage m’ont d’ores-et-déjà qualifié de « sal gosse » ou de « vulgaire garnement » en m’ayant côtoyé quelques années à ce jour. Moi, dans toute ma splendeur éreintante. Je ne vous cache pas que je suis très créatif en ce qui concerne les blagues de bonne guerre. Attention, cela ne signifie absolument pas que je suis immature et irresponsable à tout bout de champ. Mon caractère enfantin et émancipé de certaines normes morales n’affecte pas mon travail fourni au nom de mon avenir et de ma carrière. Mon aura combattive et compétitive excelle dans le domaine artistique ainsi que dans tout ce qui s’y rapporte. Soit, retenez que mon humour est incommensurable et mon humeur imprévisible. Nous pouvons combiner divertissement et business, le mélange est extraordinaire, et à saisir. Sinon, je n’apporte aucun jugement sur la valeur de la vie, je m’adapte à ses aléas, aux situations qu’elle m’impose et croque les plaisirs qu’elle m’offre de temps à autre sans me poser de question. Ma philosophie est très inspirée des pensées carpe diem.
Enfin, ma persévérance penche parfois vers l’obstination, et lors de ces instants, la plupart pensent tout haut « il y a des baffes qui se perdent ». Ma foi, des coups de batte seraient plus efficaces à l’encontre de ma tête aussi résistante que du roc. Me faire taire ou renoncer est une autre paire de manches, je préfère vous prévenir à l’avance !
En-dehors de mes heures sur la glace – mon fidèle havre – mes journées s’écoulent en compagnie du gazon, du soleil et des nuages. La vie en communauté est une ressource que je préconise à chaque instant opportun. J’aime me mêler aux gens, et m’enrichir de leurs différences. Rien ne vaut l’oxygène extérieur, au grand air pour revigorer mes poumons et balayer les mauvaises ondes qui me torturent spirituellement !
Paradoxalement, j’ai en grippe les individus péchant paresseusement, pour qui l’hypocrisie et la fainéantise sont des valeurs inculquées dès la naissance. Je hais également les rabat-joies, les critiques non constructives et qui n’ont pas lieu d’être, et surtout les personnes qui se prétendent plus intelligentes ou rusées que d’autres au point de méjuger untel ou untel sans aucune raison légitime.
When I was... when U were...
Employer un récit rétrospectif pour relater des souvenirs plus ou moins lointains à une âme miséricordieuse, ça n’a jamais été mon truc. Vous exigez donc beaucoup d’efforts de ma part. Je ne vais pas m’étendre sur ma naissance. 18 Janvier 1987, aux environs de deux heures du matin, les infirmières clampaient et coupaient mon cordon ombilical. Né lors d’une nuit enneigée, et le lendemain fut nuageux, selon ma mère, mais miraculeusement le soleil s’était manifesté lorsqu’il avait fallu pour nous quitter l’hôpital. À croire que j’étais voué à rencontrer en premier lieu la lumière du jour dès mon entrée dans la cambrousse. L’exode rural ne semblait pas toucher mes parents, pour sûr, puisque j’ai fréquenté les hautes herbes avec leurs amis les pissenlits jusqu’à ma neuvième année. Une enfance banalement sereine s’est ensuite construite, j’étais entouré, encadré et discipliné. Aussi loin que je m’en souvienne, mes deux parents me chérissaient comme la prunelle de leurs yeux. L’avantage d’être fils unique était qu’à l’époque il n’y avait nul besoin d’énorme caprice en vue d’obtenir le moindre désir motivé par la volonté. Il me suffisait de leur affirmer que je les aimais, tous les jours. Détenteur du gène héréditaire, je suis à vie Twao, telle est ma destinée, et alors ? Qu’il en soit ainsi, ceci ne m’a pas empêché de m’épanouir avec la civilisation… À un poil près.
Lors de mes six ans, le processus de charge, de transmission me donnait par moment la nausée, cependant généralement j’insufflais mon surplus d’énergie par un simple contact buccal à l’adresse de ma mère sans encombre, tout allait pour le mieux. Je ne fus pas dépaysé par le changement de l’environnement en conséquence de notre unique déménagement ensemble. L’urbanisation apportait ses bénéfices, ma famille était au beau fixe. Tout allait pour le mieux. Puis, mon père a voulu abuser des baisers échangés avec la voisine propriétaire de la plus luxueuse résidence des alentours. L’innocence n’a pas duré très longtemps, et en dépit de mon jeune âge, du haut de mes dix ans, j’ai très vite compris qu’il ne s’agissait plus d’une simple obligation qui mettait la survie de l’espèce en jeu, non loin de là, leurs affinités impliquaient une liaison plus intime et conséquente qu’elle n’y paraissait au premier coup d’œil. S’ensuivirent querelles et règlements de compte au sein du cocon familial qu’ils ne m’ont pas épargné, des concertations plus posées à lesquelles je n’assistais pas. Emmitouflé dans les draps de mon lit, je craignais ce qui finit par surgir, comme un éclatement de verre contre le mur du salon. Peu après mes onze pommes, une procédure de divorce s’est enclenchée, et fort heureusement pour moi elle fut par consentement mutuel. Soit, plus rapide et moins onéreuse pour eux, mais tout aussi coûteuse vis-à-vis de ma position. La séparation a beau s’être déroulée à l’amiable, je n’en suis pas moins resté affecté par l’absence de mon père à la suite de son déménagement. « C’est pour le bien de tout le monde. », me répétait sans cesse la femme à qui on avait bafoué son amour et que j’avais pour mère. La correspondance avec mes deux ascendants aurait pu perdurer si les relations n’avaient pas été aussi conflictuelles entre les deux ex mariés qui dorénavant étaient devenus rivaux dont ma confiance et ma garde ont été mises à prix. Etait-il question d’enjeu important ? Je l’ignore, et à présent je m’en fous. Ma mère l’a emporté. Il est parti, et n’a pas enterré avec lui les souvenirs d’une famille réunie qui me hantent de temps à autre, ni les interrogations que j’avais à son sujet. Notre avenir à trois fut réduit en cendres qui furent à leur tour balayées par un vent glacial. Le climat s’est refroidi, les grains de poussière se sont amoncelés, et les décorations ornant les pièces de la maison se sont ternies une à une. Ma mère a vécu pendant une dizaine de mois tel un fantôme qui errait et exerçait ses fonctions par mécanisme.
L’image héroïque que véhiculait mon père s’est transformée en celle d’un anti-héro, jusque dans mes songes. À cause de cela, mes nuits étaient tourmentées par des cauchemars qui ne semblaient avoir de fin, c’était invivable. « Pense-t-il à moi, de temps en temps ? » Que j’étais naïf. Sans nul doute, sa famille recomposée avec l’autre bourge avait dû fleurir à merveille. Il est évident qu’il existe pour moi, quelque part, un demi-frère ou une demi-sœur. Cette optique m’indiffère au plus haut point, et ce, malgré ses visites sempiternelles une fois que le soleil filait le relai à la lune et qu’elle écrivait sur son vieux parchemin qu’est le ciel. Je ne le recherche même pas, non, je m’en moque.
Désormais, j’ai appris à vivre avec ce manque paternel. Ma mère, après avoir repris du poil de la bête, a su combler ce vide à la perfection, toujours présente pour me soutenir dans mes entreprises et ambitions. Il lui a tout de même fallu digérer le fait que je veuille arrêter mes études universitaires en langues étrangères à l’annonce de mes vingt ans afin de réaliser mon rêve le plus cher et de prendre mon envol. Actuellement, je fais partie intégrante d’un club de hockey sur glace en tant qu’ailier sur le terrain de glace, et je sers dans un restaurant pour subvenir à mes besoins indépendamment. J’ai toujours habité et décidé de mon orientation future dans le noyau de la Corée du Sud qu’est Séoul, et il n’est pas prévu que ça change.
J’omets sûrement des anecdotes qui ont marqué mon adolescence ainsi que mon passage à l’âge adulte, toutefois je suppose qu’il s’avère bon de ne pas tout révéler sur soi-même. Conservons une part de mystère à élucider. Ce fragment vous conviendra, et au pire des cas, vous devrez vous en contenter !
Derrière l'écran, je suis BouhDeChou ou B-E-, comme vous le souhaitez , j'ai 19 ans, et je fais du RP depuis deux ans environs.. Je suis ici grâce à Aznie, Maddy et Léa, et je souhaite passer par ici environ 4/7 jours. Ah oui, j'oubliais ! Le code du règlement c'est : «SupaRyu validation!».
Test RP:
ici un RP que vous avez déjà fait ou un que vous inventez.
Tu peux aussi demander à avoir une maison ou un appartement sur ce topic. Tu trouveras des codes utiles pour tes RPs ici, et n'hésite pas à aller relire les annexes. En cas de question, viens la poser ici, et en cas d'absence, signale-le ici.
Si tu es Twao, la Liste des Twaos t'es ouverte, et recense-toi !
Un dernier mot ?
Bienvenue à toi O/ Alors, que dire? Pas grand chose, je l'avoue. Mais c'est que c'est bien ahah! Mh, tu sembles avoir compris le système des twaos, de plus ton histoire est bien menée. Par contre, tu ne fais pas mention de l'âme soeur? Mais comme tu es patience, et que monsieur veut laisser une part de mystère... Ca passe ^^ Ah! Et j'ai vraiment apprécié de lire ta fiche. Tu as un style particulier, qui n'est pas très courant, et j'aime beaucoup! C'était plutôt agréable~ Voilà! J'espère que tu t'amuseras bien parmi nous! Enjoy!