Sujet: Tae Sung Ki ☆ Patience - Receveur ☆ Seo In Guk Mer 30 Oct - 11:23
Tae Sung Ki
feat. Seo In Guk
« Toute chose a un prix. Même la mort. »
Âge.27 ans Date de naissance.07 juillet 1986 Situation amoureuse.Devenu légèrement obsessionnel quant à un garagiste. Légèrement. Activité.Procureur Groupe.Patience Twao/Humain.TwaoDonneur, receveur ?Receveur But.Venger la déchéance de ma famille
Ce que vous voyez :
Etes-vous aveugle ? Pourquoi aurait-il besoin de se décrire ? Il n’y a qu’à le regarder pour se faire une idée. Est-ce qu’il est beau ? Si vous croyez que ce genre de chose l’intéresse, alors vous ne le connaissez pas. Au contraire, vous ne faites que lui faire perdre son temps... Comme s’il était quelqu’un d’assez superficiel pour se préoccuper de ce que vous pouvez bien penser de son visage. Ce n’est plus son outil de travail, alors quelle importance ? Vous n’avez qu’à ouvrir le premier magasine chez le libraire, vous le verrez… Il est grand, disons plus que la moyenne donné par l’état coréen mais il ne frôle pas les plafonds pour autant. Gros ? Non, il a toujours été maigre. Mais moins depuis qu’il a commencé la musculation. Là, il a un corps bien sculpté. De quoi vous faire pâlir de jalousie, ou baver d’envie, selon le cas.
Ses cheveux sont aussi sombres que les ténèbres. Evidemment, ils sont indisciplinés et semblent livrer bataille sur le haut de son crâne. Mais il parait que ça lui donne un air plus… « Mignon » ou « sauvage ». Comme si ça avait de l’importance au fond… La couleur de ses yeux ? Violets, évidemment. Ah, ça va… Ils sont noirs bien sûr, comme ceux de sa petite sœur. Ils n’ont pas de formes particulières, ils sont comme ceux d’un asiatique standard. Par contre, ses lèvres sont pulpeuses. C’est un détail que l’on ne pourrait louper. Une jolie bouche ronde et rouge, qui laisse rarement passer un sourire. C’est dommage d’ailleurs, parce qu’il est bien plus attirant lorsqu’il a ce rictus amusé.
Un style vestimentaire ? Pour le travail, il porte la plupart du temps des costumes qui lui donnent l’impression d’être coincé dans le corps d’un pingouin. Enfin, c’est surtout censé lui donner un air crédible et sérieux. Sinon, il aime bien être à l’aise dans ses vêtements. Plus pratique s’il doit se battre ou s’enfuir. Comme ? Les gros pulls de laine confortables, les chemises qui moulent son torse musclé et des jeans qui ne serrent pas trop, par exemple. Mais il essaie quand même d’être bien habillé, d’accord ? Son année de mannequinat lui aura au moins appris ça.
Ah, oui, il a un tatouage. « Revenge », sur l’avant-bras. Pourquoi ça vous étonne ? On est tous adolescent un jour où l’autre. Et puis, ce simple mot suffit à le décrire. C’est bon, on peut passer à autre chose ? Au pire, vous n’aurez qu’à regarder une photo pour compléter. Il est assez pressé et n’aime pas qu’on l’observe longuement comme vous le faites.
Ce que vous voulez voir :
Ce que vous voulez voir : Vous voulez le connaitre ? Ah, il n’aime pas cette idée. Resté derrière sa carapace, c’est plus simple, moins douloureux. Pourquoi voudrait-il se confier ?
Très bien, puisque vous insistez. Vous savez, avant il y avait un détail que l’on remarquait aussitôt chez lui. Son sourire. Quand il était enfant, il ne le laissait jamais faner. Il riait beaucoup, il aimait jouer des tours et faire des blagues. Il avait de l’humour et de l’esprit, malgré son passé oublié. Ses victimes favorites étaient ses petites sœurs. Ah ça, il aimait les embêter, leur inventer des histoires et des jeux, toujours plus originaux à chaque fois. Elles étaient son trésor. Enfin, elles le sont toujours, mais… Différemment. Avant, il était serviable. Ne se plaignait que rarement, ne pleurait jamais. Il était un peu casse-cou sur les bords, mais quel petit garçon ne l’est pas un peu ? Il était heureux, personne ne pourrait le nier. Il a appris à vivre, dans la joie et la bonne humeur.
Jusqu’au drame. Comment ça, quel drame ? Renseignez-vous avant de poser de telles questions. Bref, on y reviendra plus tard.
Toujours est-il… Qu’à partir de ses dix-sept ans, sa personnalité a commencé à changer. Radicalement. Son sourire a disparu, ne laissant qu’un rictus amer sur ses lèvres. Rares sont ceux qui arrivent encore à l’étirer. Il garde continuellement un masque froid sur le visage, si bien qu’il fait souvent peur à ceux qui ne le connaissent pas. Malgré la crainte qu’il inspirait, il a toujours été assez populaire au lycée comme à l’université. Qu’on se le dise, ce n’est pas comme si ça l’intéressait plus que ça. En réalité, c’est ce qui marque le plus le caractère actuel de Sung Ki. Peu de chose le touche réellement. Il ne ressent ni peine, ni tendresse. Vous savez, comme les victimes d'attentats qui se forge une sorte de muraille pour se protéger. Eh bien c'est également son cas. Il s'est tellement renfermé ces dernières années, qu'il ne parle que s'il juge que c'est nécessaire. Lorsque c'est le cas, il est souvent franc, et ne mâche pas ses mots, c'est la raison pour laquelle il ne vous adressera pas la parole si vous ne signifiez rien d'important pour lui. N'allez pas croire qu'il est méchant pour autant. En réalité, il ne supporte pas l'idée de blesser ou de faire du mal à ceux qui l'entourent. Il est simplement maladroit lorsqu'il s'agit de relation humaine. Il a affreusement peur de s'attacher, ne voyant que le côté négatif de ce qu'un lien pourrait apporter, alors il a tendance à fuir les lits au petit matin plutôt qu’à attendre le petit déjeuner. Il est seul, terriblement seul. C’est sûrement ce qui lui fait défaut et ce que lui reprochent le plus souvent ses sœurs. Parce qu’elles savent voir ce que d’autres peinent à voir. Ce côté doux et généreux qu’il ne laisse ressortir qu’en leur présence. En leur présence, il se sent un peu moins coupable et plus apte à se détendre. Elles sont ce qu’il a de plus précieux et il n’hésitera pas à les protéger quoiqu’il arrive.
C’est ce qui vous laissera une forte impression, si jamais Tae Sung Ki vous laisse l’approcher. Sa détermination, sa colère, et la force que lui souffle l’idée de la vengeance. C’est ce qui fait qu’il est ainsi aujourd’hui.
Ce que vous ne verrez jamais :
Vous voulez vraiment tout savoir, n’est-ce pas ? Très bien, mais je ne serais pas responsable si vous y laissez une larme.
L’histoire de Tae Sung Ki commence à l’âge de huit ans. Ce qu’il s’est passé avant ça, il ne s’en souvient que brièvement. Des images qui reviennent le hanter chaque nuit depuis son enfance. Il ne voit que quelques brides du temps qu’il a passé à l’orphelinat, ce qu’il en sait sinon c’est ce qu’on lui a appris. Ce dont il est sûr cependant, c’est qu’il n’est pas comme tous les enfants. Il a quelque chose en plus, ou quelque chose en moins. Un gène qui fait qu’il a constamment besoin de rester accroché à l’une des bonnes sœurs qui s’occupe de lui. Parce qu’elle est comme lui, et qu’elle est celle qui lui sauve la vie. D’un petit baiser innocent poser sur les lèvres d’un enfant. Pourtant, il sait que ce n’est pas normal, mais il ne se souvient pas pourquoi. Est-ce qu’il a préféré oublier, ou est-ce que quelque chose l’empêche de se souvenir ? Toujours est-il que cette période, il n’essaie même pas de s’y intéresser.
Non. Tout a commencé avec l’arrivée de ce couple. Comment ça « quel couple ? »… Laissez-moi finir, ou je m’en vais. Les parents Tae, ceux qui ont eu la bonté de les adopter, lui et He Ran, son adorable petite sœur. Si au début, il était assez méfiant envers ces étrangers qui se disaient être de sa famille, il a vite compris qu’il n’avait plus rien à craindre. Ils étaient aimants, attentionnés, et chaleureux. Tout ce dont il avait toujours rêvé après tout. Il avait enfin trouvé ses parents et avec eux, une autre petite sœur de deux ans sa cadette. Avec eux, il a appris à vivre comme un enfant normal, se laissant aller dans la joie et le bonheur d'être aimé, protégé et entouré. Il parvient même à oublier la peur qu’il a souvent développée envers sa propre nature, retrouvant en ses parents adoptifs –tous deux twaos- la confiance qui lui manquait.
Ce fut les neuf années les plus belles de sa vie.
Car tout rêve a une fin. La bulle de bonheur dans lequel les enfants étaient enfermés finit par éclater, un beau jour sans prévenir. Il encore du mal à y croire parfois. Il rentrait simplement du lycée, au terme d’une journée tout à fait normale, presque banale. Pourtant, il a entendu les cris de ses soeurs, avant même de sentir l'odeur âpre du brûlé. La peur lui enserrant l’estomac, il s’est précipité dans la longue rue dans laquelle se trouvait le salon de thé. Les flammes. Les cendres. L’odeur. La chaleur. Il aurait voulu hurler, vous savez ? Mais il est resté pétrifié, les bras ballants alors que tout se pressait autour de lui. Une terrible pensée l’a heurté, alors que ses yeux écarquillés se sont posés sur ses cadettes. Au fond, il le savait déjà. Ses parents venaient de mourir dans un incendie. A dix-sept ans, Tae Sung Ki a perdu tout ce qu’il avait. Sa famille, ses repères, et certains disent aussi, qu’il s’est perdu lui-même.
Anéanti, est un faible mot. Meurtri, il s’est tut. Il écoutait à peine lorsque le notaire lui laissa le tutorat sur ses sœurs. D’un jour à l’autre, Sung Ki s’est retrouvé à la tête de la famille, sans savoir quoi en faire. Il entend juste parler d’un parent qui vivrait à l’autre bout du pays. Sans d’autre alternative, il guide donc ses soeurs jusqu'à Busan, où ils trouvent refuge chez leur seul parent apte à les accueillir après le drame. Là-bas, il se renferme totalement. Il s’égare un moment, tombant dans les sorties de nuit et tout ce que cela engendre. Oh oui, il y a goûté. A tous les plaisirs vicieux qui se trouvent tapis dans l’ombre. Mais rien n’a suffi à combler ce vide béant qui lui trouait la poitrine. Il ne faisait que causer plus de mal aux deux seules personnes qui comptaient encore dans sa vie. Mais comme un coup du sort, c’est à la période où il commence à se reprendre et à apercevoir un avenir, qu’il apprend ce qui finira définitivement par l’enfermer dans la colère. A vingt ans, on lui annonce que l’incendie n’était pas accidentel. Ce jour-là, il entend le nom de la Caste pour la première fois.
Sa haine le prend aux tripes. Incapable de réfléchir ou de tenir en place, il fait ses valises dès le lendemain avec pour seule idée de quitter le sud pour rejoindre la capitale. Il est comme ça, n’est-ce pas ? Impulsif. D’autant plus sous le coup de la colère.
Il n’avait aucun repère en arrivant, il n’avait pourtant quitté la ville que trois ans plus tôt. Enfin, là, il était seul et devait recommencer depuis la case départ. Ayant abandonné ses études de droit, comme le reste, à Busan il a d’abord cherché le moyen le plus rapide de se faire de l’argent. Et il a trouvé, ça c’est sûr. C’est là que vous l’avez remarqué, pas vrai ? Bref. Il est devenu mannequin. Pour toutes sortes de marques. On se l’arrachait, on le reconnaissait dans les rues et on l’acclamait même parfois. A l’époque non plus il ne faisait pas le difficile sur ce qui passait dans son lit. Une fois une idole, une autre un juge d’instruction. Il était si populaire qu’il m’arrive de me demander s’il ne le faisait pas exprès. Pourquoi ? Pour attirer l’œil de la Caste bien sûr ! Leur montrer qu’il était toujours là, sur leurs traces.
A présent, dix ans après le drame, - et les années, il les a compté croyez-moi – Tae Sung Ki ne vit que pour la vengeance. Son maitre mot. Il est devenu procureur, dans ce but d’ailleurs. En entrant ainsi dans le domaine de la loi il est bien placé pour l'utiliser à ses fins. Car croyez-moi, il y arrivera. Si Tae Sung Ki veut quelque chose, il l’obtient. Or, s’il souhaite plus que tout la tête du responsable de la mort de ses parents, il l’aura. C’est pourquoi il n'a pas le temps d'entretenir de quelconques relations sérieuses. Que ce soit avec ses soeurs qu'il voit rarement malgré leur arrivée dans la grande ville, ou qu’ils habitent ensembles désormais. Et pourtant, dieu sait combien il les adore. Il est prêt à tout pour elle, et je vous déconseille de vous en approcher de trop près. Il veille, oui, il veille toujours. Pour ce qui est de cette quête à l’âme sœur, il est inutile de lui en parler. Sa seule chasse est celle qui l’obsède jour et nuit. Les aventures sans lendemain lui conviennent bien mieux. Moins de risque de s’attacher comme ça, n’est-ce pas ?
Alors, vous avez tout ce que vous vouliez savoir ? Pour qui travaillez-vous déjà ? Hein… Mais… Qu’est-ce qui se pass…
Derrière l'écran, je suis Kana, j'ai 19 ans, et je fais du RP depuis 2 ans. Je suis ici grâce à mon autre moi, et je souhaite passer par ici environ 7/7 jours. Ah oui, j'oubliais ! Le code du règlement c'est : «Validation par Ryu~».
Test RP:
ici un RP que vous avez déjà fait ou un que vous inventez.
Tu peux aussi demander à avoir une maison ou un appartement sur ce topic. Tu trouveras des codes utiles pour tes RPs ici, et n'hésite pas à aller relire les annexes. En cas de question, viens la poser ici, et en cas d'absence, signale-le ici.
Si tu es Twao, la Liste des Twaos t'es ouverte, et recense-toi !
Un dernier mot ?
Bon bah parfait, pour changer ! Après, je ne suis pas très fan des personnages qui ne vivent que de la vengeance, je trouve que ça enferme trop, et quand le but est atteint, le personnage n'a plus de raison d'être. Mais je te fais confiance u.u J'ai beaucoup aimé le "certains disent qu'il s'est perdu lui-même". Et la fin aussi, pas mal XD.
PAR CONTRE IL A PAS DES YEUX D'UNE FORME BANALE D8